Kiezhelden : les héros du quartier selon le FC St. Pauli
Ou quand le football devient moteur de solidarité...

Au FC St. Pauli, le football ne s’arrête pas au coup de sifflet final. Il se prolonge dans les rues du quartier, dans les cœurs des habitant·es, et dans les actions concrètes menées pour plus de justice sociale. C’e
https://fcspkultur.noblogs.org/post/2025/08/16/kiezhelden-les-heros-du-quartier-selon-le-fc-st-pauli/
#Fankultur #VieDuClub #Fonctionnement #Kiezhelden #Principes

Wanneer is het voor jou genoeg?
Waar trek jij de streep?
#principes

Een streep

Ik trok een streep;
tot hier,
nooit ga ik verder dan hier.

Toen ik verder ging
trok ik een nieuwe streep,
en nog een streep.

De zon scheen
en overal zag ik mensen,
haastig en ernstig,
en iedereen trok een streep
iedereen ging verder.

Toon Tellegen

Les bonsaïs

Semis de bonsaï : ce qu’il faut savoir

Cultiver un bonsaï à partir de graines (appelé “misho” en japonais) est une expérience gratifiante, mais qui demande de la patience et de la rigueur. Voici les points essentiels à connaître pour réussir vos semis de bonsaï.

Choix et récolte des graines

• Il n’existe pas de “graines de bonsaï” : ce sont des graines d’arbres ordinaires, que l’on cultive en pot et que l’on forme ensuite en bonsaï[1].
• Vous pouvez récolter des graines localement (glands, châtaignes, samares d’érable, etc.) ou les acheter dans des magasins spécialisés[1][2].
• Pour certaines espèces, les graines doivent être débarrassées de leur enveloppe ou pulpe pour éviter les moisissures (ex : pommier, cerisier)[2].

Période de semis

• L’automne est la période idéale pour semer, car cela respecte le cycle naturel : les graines passent l’hiver en terre et germent au printemps, profitant ainsi d’un été entier pour se développer[1][7].
• Si vous semez hors saison ou avec des espèces exotiques, il faudra souvent “stratifier” les graines, c’est-à-dire les placer au froid pour simuler l’hiver[1].

Préparation et techniques de semis

• Utilisez un récipient percé pour le drainage, avec une couche de graviers ou de sable au fond, puis un mélange terreux adapté (akadama, pumice, écorce de pin, etc.)[2][5].
• Semez les graines en les espaçant pour éviter une levée trop dense. Recouvrez-les de terre tamisée : 1 à 2 cm pour les grosses graines, quelques millimètres pour les plus fines[5].
• Maintenez une humidité constante, sans excès d’eau. Une mini-serre ou un couvercle transparent peut aider à conserver l’humidité et la chaleur[5][6].
• Température idéale pour la germination : entre 15 et 26°C selon les espèces[5][6].

Premiers soins et repiquage

• Les semis restent généralement dans leur pot jusqu’au printemps suivant, moment du premier rempotage[2].
• Dès qu’ils ont 2 vraies feuilles (pas les cotylédons), vous pouvez repiquer les jeunes plants pour leur donner plus d’espace[2].
• L’objectif des premières années est de former un bon système racinaire (nebari), essentiel pour la stabilité et l’esthétique du futur bonsaï[4].

Patience et formation

• Il faut compter au moins 5 ans pour obtenir un jeune bonsaï à partir d’un semis de feuillu, et jusqu’à 10 ans pour un conifère[2][3].
• Avant toute taille (racines, branches), attendez que le jeune plant soit bien enraciné et vigoureux, soit 1 à 2 ans après la germination[3].
• Les premières interventions visent surtout à orienter la croissance des racines et à sélectionner les sujets les plus prometteurs[4].

Risques et conseils

• Le principal risque est la fonte des semis (maladies fongiques). Pour limiter ce risque, veillez à une bonne aération, un substrat bien drainé et évitez l’excès d’humidité[2].
• Ne semez pas trop de graines : chaque plant demande de la place et des soins sur plusieurs années[2].

En résumé, le semis est la méthode la plus longue mais aussi la plus formatrice pour créer un bonsaï à votre image, depuis la graine jusqu’à l’arbre adulte. Elle nécessite patience, observation et rigueur, mais offre la satisfaction de voir évoluer un arbre que vous aurez accompagné dès ses premiers jours[1][2][3].

Sources
[1] Elever un arbre à partir d’une graine – Bonsai Empire https://www.bonsaiempire.fr/fondamentaux/multiplication/de-graines
[2] Bonsaï à partir de semis https://www.pbonsai.fr/semis.html
[3] Créer un bonsaï : comment s’y prendre – Gerbeaud https://www.gerbeaud.com/jardin/fiches/bonsai-creation-formation,1232.html
[4] Rempotage des semis pour obtenir un bonsaï https://www.pbonsai.fr/semisrempotage.html
[5] Techniques de semis d’un bonsaï – SystemeD.fr https://www.systemed.fr/allees-paysagisme-jardinage/techniques-semis-bonsai,8932.html
[6] Comment débuter dans les semis de Bonzaï ?[PEARLTV.FR] https://www.youtube.com/watch?v=PQuSyYn_Ec4
[7] Vente en ligne Semences pour créer des Bonsaïs https://www.semencesdupuy.com/477-bonsai
[8] CRÉER un BONSAÏ avec un SEMIS AFDB – YouTube https://www.youtube.com/watch?v=V_o8zQboTnI
[9] Pour que mes petites graines devienne grande – Bonsai forum https://www.bonsaiempire.fr/forum/techniques-de-base/416-pour-que-mes-petites-graines-devienne-grande
[10] COMMENT faire des SEMIS D’ÉRABLES pour créer une … – YouTube https://www.youtube.com/watch?v=fprK_q_kmmA

#bonzaï #périodeDeSemis #pratique #principes #semis

Les bonsaïs

Semis de bonsaï : ce qu’il faut savoir

Cultiver un bonsaï à partir de graines (appelé “misho” en japonais) est une expérience gratifiante, mais qui demande de la patience et de la rigueur. Voici les points essentiels à connaître pour réussir vos semis de bonsaï.

Choix et récolte des graines

• Il n’existe pas de “graines de bonsaï” : ce sont des graines d’arbres ordinaires, que l’on cultive en pot et que l’on forme ensuite en bonsaï[1].
• Vous pouvez récolter des graines localement (glands, châtaignes, samares d’érable, etc.) ou les acheter dans des magasins spécialisés[1][2].
• Pour certaines espèces, les graines doivent être débarrassées de leur enveloppe ou pulpe pour éviter les moisissures (ex : pommier, cerisier)[2].

Période de semis

• L’automne est la période idéale pour semer, car cela respecte le cycle naturel : les graines passent l’hiver en terre et germent au printemps, profitant ainsi d’un été entier pour se développer[1][7].
• Si vous semez hors saison ou avec des espèces exotiques, il faudra souvent “stratifier” les graines, c’est-à-dire les placer au froid pour simuler l’hiver[1].

Préparation et techniques de semis

• Utilisez un récipient percé pour le drainage, avec une couche de graviers ou de sable au fond, puis un mélange terreux adapté (akadama, pumice, écorce de pin, etc.)[2][5].
• Semez les graines en les espaçant pour éviter une levée trop dense. Recouvrez-les de terre tamisée : 1 à 2 cm pour les grosses graines, quelques millimètres pour les plus fines[5].
• Maintenez une humidité constante, sans excès d’eau. Une mini-serre ou un couvercle transparent peut aider à conserver l’humidité et la chaleur[5][6].
• Température idéale pour la germination : entre 15 et 26°C selon les espèces[5][6].

Premiers soins et repiquage

• Les semis restent généralement dans leur pot jusqu’au printemps suivant, moment du premier rempotage[2].
• Dès qu’ils ont 2 vraies feuilles (pas les cotylédons), vous pouvez repiquer les jeunes plants pour leur donner plus d’espace[2].
• L’objectif des premières années est de former un bon système racinaire (nebari), essentiel pour la stabilité et l’esthétique du futur bonsaï[4].

Patience et formation

• Il faut compter au moins 5 ans pour obtenir un jeune bonsaï à partir d’un semis de feuillu, et jusqu’à 10 ans pour un conifère[2][3].
• Avant toute taille (racines, branches), attendez que le jeune plant soit bien enraciné et vigoureux, soit 1 à 2 ans après la germination[3].
• Les premières interventions visent surtout à orienter la croissance des racines et à sélectionner les sujets les plus prometteurs[4].

Risques et conseils

• Le principal risque est la fonte des semis (maladies fongiques). Pour limiter ce risque, veillez à une bonne aération, un substrat bien drainé et évitez l’excès d’humidité[2].
• Ne semez pas trop de graines : chaque plant demande de la place et des soins sur plusieurs années[2].

En résumé, le semis est la méthode la plus longue mais aussi la plus formatrice pour créer un bonsaï à votre image, depuis la graine jusqu’à l’arbre adulte. Elle nécessite patience, observation et rigueur, mais offre la satisfaction de voir évoluer un arbre que vous aurez accompagné dès ses premiers jours[1][2][3].

Sources
[1] Elever un arbre à partir d’une graine – Bonsai Empire https://www.bonsaiempire.fr/fondamentaux/multiplication/de-graines
[2] Bonsaï à partir de semis https://www.pbonsai.fr/semis.html
[3] Créer un bonsaï : comment s’y prendre – Gerbeaud https://www.gerbeaud.com/jardin/fiches/bonsai-creation-formation,1232.html
[4] Rempotage des semis pour obtenir un bonsaï https://www.pbonsai.fr/semisrempotage.html
[5] Techniques de semis d’un bonsaï – SystemeD.fr https://www.systemed.fr/allees-paysagisme-jardinage/techniques-semis-bonsai,8932.html
[6] Comment débuter dans les semis de Bonzaï ?[PEARLTV.FR] https://www.youtube.com/watch?v=PQuSyYn_Ec4
[7] Vente en ligne Semences pour créer des Bonsaïs https://www.semencesdupuy.com/477-bonsai
[8] CRÉER un BONSAÏ avec un SEMIS AFDB – YouTube https://www.youtube.com/watch?v=V_o8zQboTnI
[9] Pour que mes petites graines devienne grande – Bonsai forum https://www.bonsaiempire.fr/forum/techniques-de-base/416-pour-que-mes-petites-graines-devienne-grande
[10] COMMENT faire des SEMIS D’ÉRABLES pour créer une … – YouTube https://www.youtube.com/watch?v=fprK_q_kmmA

#bonzaï #périodeDeSemis #pratique #principes #semis

Le printemps en fleurs

Le phénomène de floraison printanière des arbres fruitiers et des plantes aromatiques

Au printemps, la nature se réveille après la dormance hivernale. C’est la période où de nombreux arbres fruitiers tels que le pommier et le cerisier, ainsi que diverses plantes aromatiques, entrent en floraison. Ce phénomène est à la fois un spectacle visuel et une étape cruciale pour la reproduction des plantes.

Floraison des arbres fruitiers

• Ordre de floraison : Dès le début du printemps, les premiers à fleurir sont généralement les amandiers et les pêchers, suivis par les pruniers, les cerisiers, puis les pommiers et poiriers. Chaque espèce a sa période spécifique, ce qui permet de les reconnaître facilement à cette saison[1][2].
• Le pommier : Sa floraison, souvent début mai, est caractérisée par des bouquets compacts de petites fleurs dont les pétales sont blancs avec une teinte rosée sur la face inférieure. Les boutons floraux, d’abord rosés, s’ouvrent pour révéler cette floraison bicolore typique[1].
• Le cerisier : Il fleurit généralement entre fin mars et début avril, produisant des fleurs blanches légèrement rosées, regroupées en bouquets près des rameaux. Cette floraison spectaculaire ne dure que quelques semaines, ce qui la rend très attendue chaque année[3][4][5].
• Processus de floraison : Après l’hiver, les bourgeons se gonflent de sève, éclatent et laissent apparaître les boutons floraux qui grossissent, prennent une teinte rosée, puis s’ouvrent en fleurs. Après la pollinisation, les pétales tombent et l’ovaire grossit pour donner le fruit[1].

Rôle écologique de la floraison

• La floraison printanière attire de nombreux pollinisateurs, principalement les abeilles, qui assurent la fécondation des fleurs en transportant le pollen de l’une à l’autre. Cette étape est indispensable pour la formation des fruits[1][4].
• Les conditions climatiques, comme un hiver froid suivi d’un printemps doux, sont essentielles pour une floraison abondante et réussie[3][5].

Floraison des plantes aromatiques

• Plusieurs plantes aromatiques fleurissent aussi au printemps, contribuant à la biodiversité et à l’attraction des pollinisateurs. Par exemple, la ciboulette fleurit dès avril, la bourrache dès fin avril, et le lierre terrestre dès début avril. Ces plantes sont très mellifères, c’est-à-dire qu’elles produisent beaucoup de nectar et attirent fortement les abeilles et autres insectes utiles[6].
• Associer des plantes aromatiques mellifères à proximité des fruitiers peut augmenter la pollinisation et donc la production de fruits[6].

Résumé visuel du cycle de floraison

En résumé

La floraison printanière des arbres fruitiers et des plantes aromatiques est le signe du renouveau naturel. Elle marque le début d’un cycle vital pour la reproduction des plantes, la pollinisation, et la future récolte de fruits. Ce phénomène, rythmé par la température et la lumière, est aussi essentiel pour la biodiversité et le bon fonctionnement des écosystèmes du jardin[1][3][6].

Sources
[1] Comment identifier ses arbres fruitiers grâce à la floraison ? https://www.mesarbustes.fr/blog/floraison-arbres-fruitiers-n310
[2] Branches en fleurs : rentrez le printemps dans la maison – Famiflora https://www.famiflora.be/fr-be/news/1284/branches-en-fleurs-rentrez-le-printemps-dans-la-maison
[3] Cerisier à fleurs | Le chatel des vivaces https://www.le-chatel-des-vivaces.com/219-cerisier-a-fleurs
[4] Arbres fruitiers | Apis Bruoc Sella https://www.apisbruocsella.be/fr/arbres-fruitiers
[5] Planter et entretenir les cerisiers – Compo https://www.compo.be/fr/conseil/plantes/herbes-aromatiques-fruits-legumes/cerise
[6] Quelles plantes compagnes pour les fruitiers https://mag.serreodelices.com/details-quelles+plantes+compagnes+pour+les+fruitiers-53.html
[7] La floraison des arbres fruitiers https://www.aujardin.info/fiches/floraison-arbres-fruitiers.php
[8] Cerisier : conseils de plantation, taille et entretien https://www.meillandrichardier.com/cerisiers-conseils-de-plantation-taille-et-entretien
[9] Que mettre au pied des arbres fruitiers ? – Gamm vert https://www.gammvert.fr/conseils-idees/que-mettre-au-pied-des-arbres-fruitiers
[10] Plantes aromatiques à consommer au printemps – Plantes Avenue https://plantes-avenue.fr/2748-aromatiques-a-consommer-au-printemps

#arbresFruitiers #cerisier #fleurs #floraison #jardin #permaculture #plantesAromatiques #pommier #potager #pratique #principes #printemps

Le printemps en fleurs

Le phénomène de floraison printanière des arbres fruitiers et des plantes aromatiques

Au printemps, la nature se réveille après la dormance hivernale. C’est la période où de nombreux arbres fruitiers tels que le pommier et le cerisier, ainsi que diverses plantes aromatiques, entrent en floraison. Ce phénomène est à la fois un spectacle visuel et une étape cruciale pour la reproduction des plantes.

Floraison des arbres fruitiers

• Ordre de floraison : Dès le début du printemps, les premiers à fleurir sont généralement les amandiers et les pêchers, suivis par les pruniers, les cerisiers, puis les pommiers et poiriers. Chaque espèce a sa période spécifique, ce qui permet de les reconnaître facilement à cette saison[1][2].
• Le pommier : Sa floraison, souvent début mai, est caractérisée par des bouquets compacts de petites fleurs dont les pétales sont blancs avec une teinte rosée sur la face inférieure. Les boutons floraux, d’abord rosés, s’ouvrent pour révéler cette floraison bicolore typique[1].
• Le cerisier : Il fleurit généralement entre fin mars et début avril, produisant des fleurs blanches légèrement rosées, regroupées en bouquets près des rameaux. Cette floraison spectaculaire ne dure que quelques semaines, ce qui la rend très attendue chaque année[3][4][5].
• Processus de floraison : Après l’hiver, les bourgeons se gonflent de sève, éclatent et laissent apparaître les boutons floraux qui grossissent, prennent une teinte rosée, puis s’ouvrent en fleurs. Après la pollinisation, les pétales tombent et l’ovaire grossit pour donner le fruit[1].

Rôle écologique de la floraison

• La floraison printanière attire de nombreux pollinisateurs, principalement les abeilles, qui assurent la fécondation des fleurs en transportant le pollen de l’une à l’autre. Cette étape est indispensable pour la formation des fruits[1][4].
• Les conditions climatiques, comme un hiver froid suivi d’un printemps doux, sont essentielles pour une floraison abondante et réussie[3][5].

Floraison des plantes aromatiques

• Plusieurs plantes aromatiques fleurissent aussi au printemps, contribuant à la biodiversité et à l’attraction des pollinisateurs. Par exemple, la ciboulette fleurit dès avril, la bourrache dès fin avril, et le lierre terrestre dès début avril. Ces plantes sont très mellifères, c’est-à-dire qu’elles produisent beaucoup de nectar et attirent fortement les abeilles et autres insectes utiles[6].
• Associer des plantes aromatiques mellifères à proximité des fruitiers peut augmenter la pollinisation et donc la production de fruits[6].

Résumé visuel du cycle de floraison

En résumé

La floraison printanière des arbres fruitiers et des plantes aromatiques est le signe du renouveau naturel. Elle marque le début d’un cycle vital pour la reproduction des plantes, la pollinisation, et la future récolte de fruits. Ce phénomène, rythmé par la température et la lumière, est aussi essentiel pour la biodiversité et le bon fonctionnement des écosystèmes du jardin[1][3][6].

Sources
[1] Comment identifier ses arbres fruitiers grâce à la floraison ? https://www.mesarbustes.fr/blog/floraison-arbres-fruitiers-n310
[2] Branches en fleurs : rentrez le printemps dans la maison – Famiflora https://www.famiflora.be/fr-be/news/1284/branches-en-fleurs-rentrez-le-printemps-dans-la-maison
[3] Cerisier à fleurs | Le chatel des vivaces https://www.le-chatel-des-vivaces.com/219-cerisier-a-fleurs
[4] Arbres fruitiers | Apis Bruoc Sella https://www.apisbruocsella.be/fr/arbres-fruitiers
[5] Planter et entretenir les cerisiers – Compo https://www.compo.be/fr/conseil/plantes/herbes-aromatiques-fruits-legumes/cerise
[6] Quelles plantes compagnes pour les fruitiers https://mag.serreodelices.com/details-quelles+plantes+compagnes+pour+les+fruitiers-53.html
[7] La floraison des arbres fruitiers https://www.aujardin.info/fiches/floraison-arbres-fruitiers.php
[8] Cerisier : conseils de plantation, taille et entretien https://www.meillandrichardier.com/cerisiers-conseils-de-plantation-taille-et-entretien
[9] Que mettre au pied des arbres fruitiers ? – Gamm vert https://www.gammvert.fr/conseils-idees/que-mettre-au-pied-des-arbres-fruitiers
[10] Plantes aromatiques à consommer au printemps – Plantes Avenue https://plantes-avenue.fr/2748-aromatiques-a-consommer-au-printemps

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quelques notes sur un exposé de Linda Rising

« Réalisez d'emblée que c'est difficile ».

Dissonance cognitive : des « faits » contradictoires provoquent un grave malaise cognitif.

* Nous ne sommes pas des décideur·es rationnel·les
* mais nous sommes capables d'expliquer après coup pourquoi nous avons pris une décision, ce que l'on appelle la rationnalisation.

Deux tiers des personnes n'envisagent pas une idée avant que « quelqu'un qu'elles connaissent assez bien, le fasse, en soit satisfait, en parle […] alors je pourrais peut-être y penser ».
Pour convaincre,
* il faut répondre à la question suivante : « Qu'est-ce que j'y gagne ? » - nécessite de l'empathie ;
* vous pouvez utiliser les valeurs de votre adversaire. (Loyauté ou équité ?)

Un type à contact personnel : marcher un kilomètre dans les chaussures de l'autre.
Un autre type d'influence : « Essayez »
Un autre type d'influence : écouter
Un autre type d'influence : demander quelque chose de personnel

https://www.youtube.com/watch?v=DrCD1wmK9oM

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