🕾glanĂ© sur le net🕾 Abolir les frontiĂšres au pays des nommeurs. Françoise Garbarini, textes inĂ©dits (suite): Sortir Françoise Garbarini de l'oubli. Des textes, Ă©crits dans les annĂ©es1980, restĂ©s totalement
 #FrançoiseGarbarini #TextesInĂ©dits #AnnĂ©es1980 #LittĂ©ratureFrançaise #AbolirLesFrontiĂšres

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Urotsukidƍji : Une Ɠuvre choc et avant-gardiste

J’ai vu Urotsukidƍji: Legend of the Overfiend vers le milieu des annĂ©es 90. HonnĂȘtement, Ă  l’époque, c’était vraiment fun et, quand on n’avait connu que la japanimation « classique Â», il faut dire que c’était un choc. Presque jubilatoire. Ce n’était pas seulement une dĂ©couverte visuelle, c’était une vĂ©ritable remise en question de ce que pouvait ĂȘtre l’animation japonaise.

À une Ă©poque oĂč l’on associait encore largement l’animation aux rĂ©cits d’aventure traditionnels ou aux shƍnen formatĂ©s, Urotsukidƍji venait briser toutes les attentes avec une brutalitĂ© saisissante. Ce film n’était pas seulement un ovni, c’était un vĂ©ritable Ă©lectrochoc culturel qui ouvrait la porte Ă  une nouvelle perception de l’animation, plus adulte, plus expĂ©rimentale et surtout, plus transgressive.

Loin d’ĂȘtre un simple hentai grotesque, Urotsukidƍji propose une histoire ambitieuse et une mythologie fascinante. Il ne se contente pas de provoquer, il construit un univers oĂč le concept de l’Apocalypse n’est pas un Ă©vĂ©nement Ă  Ă©viter, mais une transformation inĂ©luctable du monde. L’idĂ©e d’un Super-Dieu, le Chƍjin, qui ne vient pas sauver la Terre mais la refaçonner selon une nouvelle logique, Ă©tait une vision audacieuse pour l’époque. Ce qui rend l’Ɠuvre encore plus percutante, c’est la façon dont elle traite les notions de destinĂ©e, de transcendance et de fatalitĂ©. Loin d’un simple dĂ©lire visuel, c’est une fresque oĂč la puissance divine se manifeste dans la destruction et la renaissance d’un monde corrompu.

Cette approche narrative, mĂȘlant visions mystiques et horreur organique, fait de Urotsukidƍji une Ɠuvre singuliĂšre qui dĂ©passe largement son Ă©tiquette de simple anime interdit aux mineurs.

Un impact visuel et narratif majeur

Visuellement, Urotsukidƍji est une dĂ©monstration de ce que l’animation japonaise peut produire de plus extrĂȘme.

  • Le character design est marquĂ©, les expressions des personnages sont souvent intenses et exagĂ©rĂ©es.
  • L’animation des mutations et transformations est organique, fluide, donnant une vĂ©ritable impression de chair et de chaos.
  • Les sĂ©quences hallucinatoires et cauchemardesques rappellent parfois des visions lovecraftiennes du corps humain soumis Ă  des forces inhumaines.
  • La mise en scĂšne, avec ses jeux de lumiĂšre et ses arriĂšre-plans parfois abstraits, confĂšre Ă  l’ensemble une atmosphĂšre quasi hypnotique.

Mais l’impact ne se limite pas Ă  l’esthĂ©tique. Narrativement, la force du rĂ©cit tient dans son nihilisme assumĂ© :

  • Les personnages ne contrĂŽlent rien et se retrouvent ballottĂ©s dans un destin inĂ©luctable.
  • L’horreur ne vient pas que de la violence graphique, mais aussi du sentiment de dĂ©cadence absolue du monde.
  • L’idĂ©e d’un cycle de destruction et de renaissance, liĂ© Ă  la venue du Chƍjin, donne une dimension presque mystique au chaos ambiant.
  • La disparition progressive des repĂšres moraux et sociaux dans l’histoire renforce la sensation d’aliĂ©nation et d’inĂ©vitabilitĂ©.

On retrouve ici une vision pessimiste et cruelle de l’existence, oĂč mĂȘme les rares instants d’humanitĂ© sont balayĂ©s par la fatalitĂ©. Urotsukidƍji n’est pas simplement un film qui choque par son imagerie, il perturbe aussi par son fond, laissant une impression durable bien aprĂšs le visionnage. Il s’agit d’un regard sans concession sur la nature du pouvoir, de la domination et du chaos, une rĂ©flexion qui dĂ©passe largement son cadre initial.

Une inspiration malaisée pour du jeu de rÎle

Si l’histoire, la toile de fond, le traitement et les personnages Ă©taient rĂ©ellement bien pensĂ©s, je ne savais pas quoi en faire rĂŽlistiquement parlant Ă  l’époque. Milieu des annĂ©es 90, les JDR que l’on pratiquait Ă©taient encore assez « classiques Â», et l’univers d’Urotsukidƍji semblait trop extrĂȘme, trop dĂ©stabilisant pour ĂȘtre aisĂ©ment adaptĂ© en partie. Difficile d’introduire un monde aussi brutal et sans concessions dans des parties oĂč la structure restait encore influencĂ©e par des modĂšles plus traditionnels. À l’époque, mĂȘme les jeux Ă  la tonalitĂ© plus sombre comme L’Appel de Cthulhu ou Kult avaient du mal Ă  gĂ©rer un niveau de chaos et d’ultra-violence aussi Ă©levĂ©.

Aujourd’hui, avec le recul et une approche plus large des styles de jeu, je pense qu’il y aurait moyen d’exploiter cet univers sous un autre angle. Une vision de Tokyo Ă  la Guillermo del Toro dans Pacific Rim pourrait ĂȘtre une approche intĂ©ressante. Une ville oĂč les mutations et la fusion des rĂ©alitĂ©s sont devenues le quotidien, oĂč des forces surnaturelles titanesques se dĂ©chaĂźnent dans un monde dĂ©jĂ  Ă  l’agonie. Une telle approche permettrait de garder la dĂ©mesure de l’Ɠuvre tout en lui offrant une structure plus jouable.

Avec les bons outils rĂŽlistiques, on pourrait imaginer un systĂšme Ă  la Blades in the Dark pour gĂ©rer une faction de survivants cherchant Ă  comprendre et survivre Ă  cet univers en mutation. Ou encore un cadre Chroniques OubliĂ©es Cthulhu pour une enquĂȘte sur les origines du Chƍjin et la vĂ©ritĂ© cachĂ©e derriĂšre les trois mondes. Un autre angle serait d’explorer l’idĂ©e d’une rĂ©sistance humaine, tentant dĂ©sespĂ©rĂ©ment de garder une structure sociale fonctionnelle dans un monde en train de muter de maniĂšre irrĂ©versible. À l’opposĂ©, un jeu oĂč les personnages incarnent directement des ĂȘtres issus de ces transformations pourrait offrir un point de vue complĂštement diffĂ©rent.

Un PBTA (Powered by the Apocalypse) pourrait Ă©galement ĂȘtre un excellent outil pour retranscrire la montĂ©e en puissance inexorable des personnages, jusqu’à leur perte d’humanitĂ© et leur fusion avec l’univers chaotique d’Urotsukidƍji. Ce systĂšme permettrait de mettre en scĂšne non seulement l’action et les conflits, mais aussi l’évolution psychologique et mĂ©taphysique des protagonistes, un Ă©lĂ©ment essentiel du film.

Une Ɠuvre culte et sans concessions

Au final, Urotsukidƍji reste une Ɠuvre maudite, controversĂ©e, mais avant-gardiste. Elle appartient Ă  cette Ă©poque de la japanimation oĂč tout Ă©tait encore possible, oĂč l’on pouvait explorer les limites du genre sans crainte des conventions actuelles. Une Ă©poque oĂč l’on osait tout, pour le meilleur et pour le pire.

Avec le recul, c’est une Ɠuvre qui mĂ©rite une redĂ©couverte, non pas pour son contenu choc, mais pour son ambition et son audace narrative. C’est un tĂ©moignage d’une Ă©poque oĂč l’animation japonaise cherchait encore ses propres frontiĂšres, quitte Ă  aller trop loin. Urotsukidƍji n’est pas juste un OVNI de l’animation, c’est un marqueur d’une Ă©poque, une Ɠuvre qui, malgrĂ© ses excĂšs, conserve une aura unique, dĂ©rangeante, mais fascinante. Son influence, bien que rarement revendiquĂ©e, a marquĂ© toute une gĂ©nĂ©ration d’auteurs et de spectateurs. Elle incarne l’essence mĂȘme de l’expĂ©rimentation, du refus des limites, et d’une Ă©poque oĂč le choc visuel et narratif Ă©tait encore une finalitĂ© en soi.

#anime #années1980 #Hentai #Japanimation #Manga

L'Appel de Cthulhu, 7e édition française

Voici le contenu dĂ©taillĂ© de l’Edition Prestige, avec tous les paliers que vous avez dĂ©bloquĂ© durant cette mĂ©morable campagne de crowdfunding, ainsi que le rĂ©sumĂ© de l’ensemble des scĂ©narios qui sont prĂ©sents dans cette 7e Ă©dition de L’Appel de Cthulhu. Source: fr.ulule.com

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« Flashdance Â» : Quand les annĂ©es 80 rĂȘvaient en collants et en sueur !

Ah, les annĂ©es 80 ! Une dĂ©cennie marquĂ©e par des couleurs Ă©lectriques, des guĂȘtres fluo, et une bande-son qui rĂ©sonne encore dans nos cƓurs. Parmi les Ɠuvres emblĂ©matiques de cette Ă©poque, Flashdance (1983) occupe une place de choix. C’est l’histoire d’Alex Owens, une jeune femme indĂ©pendante, soudeuse le jour, danseuse le soir, et qui rĂȘve de devenir une danseuse professionnelle. PortĂ© par la musique iconique de What a Feeling d’Irene Cara, le film a laissĂ© une empreinte indĂ©lĂ©bile dans la culture populaire. Il Ă©voque une Ă©poque pleine d’espoir et d’énergie, oĂč les dĂ©sirs individuels semblaient pouvoir transcender les contraintes sociales.

Mais pourquoi ce film, souvent critiquĂ© pour son scĂ©nario simpliste, rĂ©sonne-t-il encore aujourd’hui ? Peut-ĂȘtre parce qu’il incarne Ă  la fois l’optimisme rĂ©siliant des annĂ©es 80 et ses contradictions sociales profondes. Ce n’est pas seulement une success story, mais un miroir des tensions Ă©conomiques et culturelles de son Ă©poque. Flashdance captive par son Ă©nergie brute et sa maniĂšre d’offrir une Ă©vasion tout en laissant transparaĂźtre les dures rĂ©alitĂ©s qui sous-tendent les rĂȘves de ses personnages.

Retour sur le mythe « Flashdance Â»

Le film, avec ses scĂšnes de danse Ă©nergĂ©tiques et ses personnages attachants, est une ode Ă  la poursuite des rĂȘves. Il s’inscrit dans une lignĂ©e de films musicaux comme Fame (1980), Footloose (1984) ou encore Dirty Dancing (1987), qui glorifient l’art, l’émotion brute, et la dĂ©termination individuelle. Ces films proposent une vision oĂč l’art, et plus particuliĂšrement la danse, devient un vĂ©hicule d’expression personnelle et de libĂ©ration. L’acte de danser dans Flashdance n’est pas seulement esthĂ©tique : il est profondĂ©ment cathartique, un cri de rĂ©bellion contre les attentes sociĂ©tales et les obstacles personnels.

Dans cette rĂ©trospective, Flashdance occupe une place particuliĂšre. C’est un film qui marie habilement une Ă©nergie brute, presque rebelle, Ă  une narration linĂ©aire et accessible. La danse n’est pas seulement un acte artistique : c’est une maniĂšre de revendiquer une identitĂ©, de surmonter des obstacles, et de s’imposer dans un monde souvent hostile. Alex Owens reprĂ©sente cette lutte universelle, celle de vouloir rĂ©aliser ses ambitions tout en affrontant les dures rĂ©alitĂ©s de son Ă©poque.

Cependant, Flashdance n’est pas qu’une simple histoire de dĂ©passement de soi. DerriĂšre les collants et les chorĂ©graphies, il reflĂšte aussi l’individualisme triomphant de l’ùre Reagan et les rĂ©alitĂ©s sociales des annĂ©es 80. Alex Owens, jeune soudeuse qui danse la nuit pour rĂȘver de succĂšs, c’est un joli symbole. Mais Ă  bien y rĂ©flĂ©chir, c’est aussi une parabole un peu gĂȘnante du « self-made man Â» façon Reagan : bosse comme une dingue, persĂ©vĂšre, et le systĂšme te rĂ©compensera. Pas un mot sur les barriĂšres systĂ©miques, les inĂ©galitĂ©s, ou la prĂ©caritĂ©. Non, Alex rĂ©ussit grĂące Ă  son talent et (un peu beaucoup) Ă  l’aide de son patron qui lui ouvre quelques portes. Hum, inspirant.

Et on pourrait dire que ces films, tous trĂšs « feel-good« , reflĂštent aussi un autre visage des annĂ©es 80 : celui oĂč les luttes sociales rĂ©elles sont balayĂ©es sous le tapis par des rĂȘves en Technicolor. Reagan aux États-Unis, Thatcher au Royaume-Uni : c’était la grande Ăšre des privatisations, de la casse des mouvements ouvriers, et du culte de l’individu. Pendant que certains luttaient pour garder leurs emplois dans l’acier ou les mines, d’autres dansaient sur des synthĂ©s en imaginant un avenir meilleur.

Et que dire du contexte global ? Guerre froide, course Ă  l’armement, tensions gĂ©opolitiques
 Tout cela semble bien loin des auditions glamour et des projecteurs scintillants. Et pourtant, c’est lĂ , juste derriĂšre : une sociĂ©tĂ© polarisĂ©e oĂč rĂ©ussir seul devient une injonction, une nĂ©cessitĂ©. Flashdance, c’est un peu le rĂȘve amĂ©ricain dans sa version nĂ©olibĂ©rale la plus dĂ©complexĂ©e.

Pittsburgh en 1983 : Une ville en mutation

Le dĂ©cor de Flashdance n’est pas choisi au hasard. Pittsburgh, surnommĂ©e la « Steel City », est alors une ville en pleine transformation. Ancien bastion de l’industrie de l’acier, elle subit de plein fouet la dĂ©sindustrialisation. Les usines ferment les unes aprĂšs les autres, laissant des milliers de travailleurs sur le carreau. Ce contexte Ă©conomique difficile nourrit une ambiance oĂč les rĂȘves comme ceux d’Alex semblent d’autant plus prĂ©cieux et inaccessibles. Chaque rue, chaque pont devient le tĂ©moin silencieux d’une Ă©poque oĂč l’espoir se mĂȘle au dĂ©sespoir.

Dans les quartiers populaires, les bars ouvriers et les petits clubs de danse deviennent des lieux d’évasion. Le South Side et le Strip District vibrent encore d’une Ă©nergie brute, mais l’ombre des grĂšves et du chĂŽmage plane sur la ville. La population oscille entre un dĂ©sespoir palpable et une envie farouche de s’accrocher Ă  quelque chose : l’art, la communautĂ©, ou le simple fait de survivre.

MalgrĂ© cette dĂ©solation, Pittsburgh conserve un certain charme industriel. Ses ponts massifs, ses cheminĂ©es d’usine encore fumantes, et ses rues Ă©troites offrent un dĂ©cor rĂ©aliste et marquant. La ville devient presque un personnage Ă  part entiĂšre, symbolisant Ă  la fois l’oppression et la rĂ©silience. On pourrait y percevoir un curieux paradoxe : un lieu oĂč la chute semble inĂ©luctable mais oĂč l’espoir persiste envers et contre tout.

Inspiration rÎliste : Plongée dans une Pittsburgh de 1983

Pittsburgh en 1983 offre un terrain fertile pour des aventures rĂŽlistes. Voici quelques pistes pour Ă©veiller l’imagination :

Luttes sociales et conflits ouvriers

Les PJ pourraient ĂȘtre des ouvriers, des syndicalistes ou des journalistes enquĂȘtant sur la fermeture imminente d’une usine emblĂ©matique. Que cache cette dĂ©cision ? Une simple rationalisation Ă©conomique ou un complot plus vaste, impliquant des pratiques douteuses de la direction ? Les tensions entre ouvriers et cadres pourraient donner lieu Ă  des affrontements physiques et moraux, obligeant les PJ Ă  choisir leur camp. Ces luttes pourraient ĂȘtre accompagnĂ©es d’évĂ©nements inattendus, comme la rĂ©apparition de secrets enfouis liĂ©s Ă  l’histoire industrielle de la ville.

Espionnage industriel

Dans un contexte de guerre froide Ă©conomique, des agents d’entreprise ou des espions Ă©trangers pourraient chercher Ă  s’emparer de brevets ou de secrets industriels liĂ©s Ă  l’acier et aux nouvelles technologies. Les PJ, simples citoyens, se retrouveraient pris dans un jeu de dupes. Ils pourraient dĂ©couvrir que leurs propres employeurs sont impliquĂ©s dans des opĂ©rations douteuses, ajoutant une dimension personnelle et conflictuelle Ă  leur mission. Chaque dĂ©cision pourrait avoir des consĂ©quences immĂ©diates, mais aussi crĂ©er des rĂ©percussions Ă  long terme sur la ville.

ScĂšne artistique underground

Les clubs de danse et les communautĂ©s artistiques deviennent le centre d’intrigues sociales. Une performance prĂ©vue pour un gala pourrait servir de couverture Ă  une opĂ©ration secrĂšte, ou un danseur pourrait dĂ©tenir des informations compromettantes sur une Ă©lite locale. Les PJ pourraient ĂȘtre entraĂźnĂ©s dans des rivalitĂ©s artistiques qui cachent des enjeux bien plus sombres. Ces intrigues permettent d’explorer des tensions entre diffĂ©rentes visions de l’art : comme outil d’expression ou comme moyen d’ascension sociale.

Conflits personnels et moraux

Dans une ambiance plus intimiste, les PJ pourraient jongler entre leurs rĂȘves personnels (art, carriĂšre) et leur responsabilitĂ© envers leur communautĂ© (famille, amis, syndicats). Ces dilemmes seraient d’autant plus poignants dans une Ă©poque marquĂ©e par l’individualisme et la rĂ©cession. Les choix des PJ pourraient avoir des consĂ©quences directes sur leurs relations, leurs opportunitĂ©s professionnelles, voire leur santĂ© mentale. Ces tensions internes pourraient s’incarner dans des scĂšnes de confrontation Ă©motionnelle, aussi marquantes que n’importe quelle scĂšne d’action.

Une ambiance unique

Pour retranscrire l’époque, voici quelques clĂ©s :

  • Musique : La bande-son est essentielle. Du rock ouvrier de Bruce Springsteen Ă  la pop synthĂ©tique de l’époque (What a Feeling, Maniac), elle crĂ©era l’énergie et la nostalgie nĂ©cessaires. Chaque scĂšne pourrait ĂȘtre rythmĂ©e par une chanson marquante, accentuant l’impact Ă©motionnel des moments clĂ©s.
  • EsthĂ©tique : Une ville grise et industrielle, oĂč les couleurs des clubs de danse et des spots lumineux contrastent avec les cheminĂ©es d’usine et les rues dĂ©sertes. Le jeu des ombres et des lumiĂšres pourrait devenir un Ă©lĂ©ment visuel central, symbolisant l’opposition entre espoir et adversitĂ©.
  • ThĂšmes : Lutte sociale, dĂ©sillusion, espoir, et solidaritĂ©. Ces thĂšmes peuvent se reflĂ©ter autant dans les interactions des PJ que dans l’évolution de la ville elle-mĂȘme, oĂč chaque choix laisse une empreinte durable.

Que ce soit pour une partie one-shot ou une campagne plus longue, Flashdance et le Pittsburgh des annĂ©es 80 offrent un cadre rĂ©solument humain, oĂč les personnages peuvent briller, tomber, et se relever, comme Alex sur sa scĂšne de danse. Entre espoir et chaos, cette Ă©poque n’attend que d’ĂȘtre explorĂ©e.

Et vous, prĂȘts Ă  chausser vos guĂȘtres et Ă  entrer dans la lumiĂšre des annĂ©es 80 ?

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Aujourd'hui, on part Ă  la recherche des CitĂ©s d'or ! ╔════════RESEAUX SOCIAUX════════╗ Discord: https://discord.com/invite/cE8UyHJP5g Twitter: https://x.com/TurtoonTW Tiktok: https://www.tiktok.com/@turtoon_ytb Produit par ArchiProd Merci Ă  Kais pour la miniature ╠══════════ MOTS CLES ══════════╣ #cartoon #dessinanimĂ© #nostalgie #mysterieusescitĂ©

Turtoon | Invidious

Quelques jeux pour les Hector et Victor de Micronique

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Les publicités ringardes et sexy des bornes d'arcade des années 1970 et 1980 - 2Tout2Rien

Voici une petite compilation de publicités ringardes et sexy des bornes d'arcade dans les années 1970 et 1980.

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n'empĂȘche qu'ils avaient inventĂ© le morphing, Ă  la main avant les ordinateurs https://www.youtube.com/watch?v=lP9EwWls1r0

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Il était une fois... l'Homme - Générique VF

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On a mĂȘme un dossier de PJ aux #Archivesnationales ! Ça nous avait bien fait rire
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#numerique #ordinateur #années1980 #informatique #archives
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Entre 1980 et 1983, ce mystĂ©rieux commando attaque les locaux d’entreprises informatiques, principalement en rĂ©gion toulousaine. Les auteurs de ces attentats ravageurs n’ont jamais Ă©tĂ© identifiĂ©s. Mais leur combat, Ă©minemment politique, n’a rien perdu de son actualitĂ©.

Le Monde