Abolir les frontiĂšres au pays ...
UrotsukidĆji : Une Ćuvre choc et avant-gardiste
Jâai vu UrotsukidĆji: Legend of the Overfiend vers le milieu des annĂ©es 90. HonnĂȘtement, Ă lâĂ©poque, câĂ©tait vraiment fun et, quand on nâavait connu que la japanimation « classique », il faut dire que câĂ©tait un choc. Presque jubilatoire. Ce nâĂ©tait pas seulement une dĂ©couverte visuelle, câĂ©tait une vĂ©ritable remise en question de ce que pouvait ĂȘtre lâanimation japonaise.
Ă une Ă©poque oĂč lâon associait encore largement lâanimation aux rĂ©cits dâaventure traditionnels ou aux shĆnen formatĂ©s, UrotsukidĆji venait briser toutes les attentes avec une brutalitĂ© saisissante. Ce film nâĂ©tait pas seulement un ovni, câĂ©tait un vĂ©ritable Ă©lectrochoc culturel qui ouvrait la porte Ă une nouvelle perception de lâanimation, plus adulte, plus expĂ©rimentale et surtout, plus transgressive.
Loin dâĂȘtre un simple hentai grotesque, UrotsukidĆji propose une histoire ambitieuse et une mythologie fascinante. Il ne se contente pas de provoquer, il construit un univers oĂč le concept de lâApocalypse nâest pas un Ă©vĂ©nement Ă Ă©viter, mais une transformation inĂ©luctable du monde. LâidĂ©e dâun Super-Dieu, le ChĆjin, qui ne vient pas sauver la Terre mais la refaçonner selon une nouvelle logique, Ă©tait une vision audacieuse pour lâĂ©poque. Ce qui rend lâĆuvre encore plus percutante, câest la façon dont elle traite les notions de destinĂ©e, de transcendance et de fatalitĂ©. Loin dâun simple dĂ©lire visuel, câest une fresque oĂč la puissance divine se manifeste dans la destruction et la renaissance dâun monde corrompu.
Cette approche narrative, mĂȘlant visions mystiques et horreur organique, fait de UrotsukidĆji une Ćuvre singuliĂšre qui dĂ©passe largement son Ă©tiquette de simple anime interdit aux mineurs.
Un impact visuel et narratif majeur
Visuellement, UrotsukidĆji est une dĂ©monstration de ce que lâanimation japonaise peut produire de plus extrĂȘme.
Mais lâimpact ne se limite pas Ă lâesthĂ©tique. Narrativement, la force du rĂ©cit tient dans son nihilisme assumĂ© :
On retrouve ici une vision pessimiste et cruelle de lâexistence, oĂč mĂȘme les rares instants dâhumanitĂ© sont balayĂ©s par la fatalitĂ©. UrotsukidĆji nâest pas simplement un film qui choque par son imagerie, il perturbe aussi par son fond, laissant une impression durable bien aprĂšs le visionnage. Il sâagit dâun regard sans concession sur la nature du pouvoir, de la domination et du chaos, une rĂ©flexion qui dĂ©passe largement son cadre initial.
Une inspiration malaisée pour du jeu de rÎle
Si lâhistoire, la toile de fond, le traitement et les personnages Ă©taient rĂ©ellement bien pensĂ©s, je ne savais pas quoi en faire rĂŽlistiquement parlant Ă lâĂ©poque. Milieu des annĂ©es 90, les JDR que lâon pratiquait Ă©taient encore assez « classiques », et lâunivers dâUrotsukidĆji semblait trop extrĂȘme, trop dĂ©stabilisant pour ĂȘtre aisĂ©ment adaptĂ© en partie. Difficile dâintroduire un monde aussi brutal et sans concessions dans des parties oĂč la structure restait encore influencĂ©e par des modĂšles plus traditionnels. Ă lâĂ©poque, mĂȘme les jeux Ă la tonalitĂ© plus sombre comme LâAppel de Cthulhu ou Kult avaient du mal Ă gĂ©rer un niveau de chaos et dâultra-violence aussi Ă©levĂ©.
Aujourdâhui, avec le recul et une approche plus large des styles de jeu, je pense quâil y aurait moyen dâexploiter cet univers sous un autre angle. Une vision de Tokyo Ă la Guillermo del Toro dans Pacific Rim pourrait ĂȘtre une approche intĂ©ressante. Une ville oĂč les mutations et la fusion des rĂ©alitĂ©s sont devenues le quotidien, oĂč des forces surnaturelles titanesques se dĂ©chaĂźnent dans un monde dĂ©jĂ Ă lâagonie. Une telle approche permettrait de garder la dĂ©mesure de lâĆuvre tout en lui offrant une structure plus jouable.
Avec les bons outils rĂŽlistiques, on pourrait imaginer un systĂšme Ă la Blades in the Dark pour gĂ©rer une faction de survivants cherchant Ă comprendre et survivre Ă cet univers en mutation. Ou encore un cadre Chroniques OubliĂ©es Cthulhu pour une enquĂȘte sur les origines du ChĆjin et la vĂ©ritĂ© cachĂ©e derriĂšre les trois mondes. Un autre angle serait dâexplorer lâidĂ©e dâune rĂ©sistance humaine, tentant dĂ©sespĂ©rĂ©ment de garder une structure sociale fonctionnelle dans un monde en train de muter de maniĂšre irrĂ©versible. Ă lâopposĂ©, un jeu oĂč les personnages incarnent directement des ĂȘtres issus de ces transformations pourrait offrir un point de vue complĂštement diffĂ©rent.
Un PBTA (Powered by the Apocalypse) pourrait Ă©galement ĂȘtre un excellent outil pour retranscrire la montĂ©e en puissance inexorable des personnages, jusquâĂ leur perte dâhumanitĂ© et leur fusion avec lâunivers chaotique dâUrotsukidĆji. Ce systĂšme permettrait de mettre en scĂšne non seulement lâaction et les conflits, mais aussi lâĂ©volution psychologique et mĂ©taphysique des protagonistes, un Ă©lĂ©ment essentiel du film.
Une Ćuvre culte et sans concessions
Au final, UrotsukidĆji reste une Ćuvre maudite, controversĂ©e, mais avant-gardiste. Elle appartient Ă cette Ă©poque de la japanimation oĂč tout Ă©tait encore possible, oĂč lâon pouvait explorer les limites du genre sans crainte des conventions actuelles. Une Ă©poque oĂč lâon osait tout, pour le meilleur et pour le pire.
Avec le recul, câest une Ćuvre qui mĂ©rite une redĂ©couverte, non pas pour son contenu choc, mais pour son ambition et son audace narrative. Câest un tĂ©moignage dâune Ă©poque oĂč lâanimation japonaise cherchait encore ses propres frontiĂšres, quitte Ă aller trop loin. UrotsukidĆji nâest pas juste un OVNI de lâanimation, câest un marqueur dâune Ă©poque, une Ćuvre qui, malgrĂ© ses excĂšs, conserve une aura unique, dĂ©rangeante, mais fascinante. Son influence, bien que rarement revendiquĂ©e, a marquĂ© toute une gĂ©nĂ©ration dâauteurs et de spectateurs. Elle incarne lâessence mĂȘme de lâexpĂ©rimentation, du refus des limites, et dâune Ă©poque oĂč le choc visuel et narratif Ă©tait encore une finalitĂ© en soi.
Voici le contenu dĂ©taillĂ© de lâEdition Prestige, avec tous les paliers que vous avez dĂ©bloquĂ© durant cette mĂ©morable campagne de crowdfunding, ainsi que le rĂ©sumĂ© de lâensemble des scĂ©narios qui sont prĂ©sents dans cette 7e Ă©dition de LâAppel de Cthulhu. Source: fr.ulule.com
« Flashdance » : Quand les annĂ©es 80 rĂȘvaient en collants et en sueur !
Ah, les annĂ©es 80 ! Une dĂ©cennie marquĂ©e par des couleurs Ă©lectriques, des guĂȘtres fluo, et une bande-son qui rĂ©sonne encore dans nos cĆurs. Parmi les Ćuvres emblĂ©matiques de cette Ă©poque, Flashdance (1983) occupe une place de choix. Câest lâhistoire dâAlex Owens, une jeune femme indĂ©pendante, soudeuse le jour, danseuse le soir, et qui rĂȘve de devenir une danseuse professionnelle. PortĂ© par la musique iconique de What a Feeling dâIrene Cara, le film a laissĂ© une empreinte indĂ©lĂ©bile dans la culture populaire. Il Ă©voque une Ă©poque pleine dâespoir et dâĂ©nergie, oĂč les dĂ©sirs individuels semblaient pouvoir transcender les contraintes sociales.
Mais pourquoi ce film, souvent critiquĂ© pour son scĂ©nario simpliste, rĂ©sonne-t-il encore aujourdâhui ? Peut-ĂȘtre parce quâil incarne Ă la fois lâoptimisme rĂ©siliant des annĂ©es 80 et ses contradictions sociales profondes. Ce nâest pas seulement une success story, mais un miroir des tensions Ă©conomiques et culturelles de son Ă©poque. Flashdance captive par son Ă©nergie brute et sa maniĂšre dâoffrir une Ă©vasion tout en laissant transparaĂźtre les dures rĂ©alitĂ©s qui sous-tendent les rĂȘves de ses personnages.
Retour sur le mythe « Flashdance »
Le film, avec ses scĂšnes de danse Ă©nergĂ©tiques et ses personnages attachants, est une ode Ă la poursuite des rĂȘves. Il sâinscrit dans une lignĂ©e de films musicaux comme Fame (1980), Footloose (1984) ou encore Dirty Dancing (1987), qui glorifient lâart, lâĂ©motion brute, et la dĂ©termination individuelle. Ces films proposent une vision oĂč lâart, et plus particuliĂšrement la danse, devient un vĂ©hicule dâexpression personnelle et de libĂ©ration. Lâacte de danser dans Flashdance nâest pas seulement esthĂ©tique : il est profondĂ©ment cathartique, un cri de rĂ©bellion contre les attentes sociĂ©tales et les obstacles personnels.
Dans cette rĂ©trospective, Flashdance occupe une place particuliĂšre. Câest un film qui marie habilement une Ă©nergie brute, presque rebelle, Ă une narration linĂ©aire et accessible. La danse nâest pas seulement un acte artistique : câest une maniĂšre de revendiquer une identitĂ©, de surmonter des obstacles, et de sâimposer dans un monde souvent hostile. Alex Owens reprĂ©sente cette lutte universelle, celle de vouloir rĂ©aliser ses ambitions tout en affrontant les dures rĂ©alitĂ©s de son Ă©poque.
Cependant, Flashdance nâest pas quâune simple histoire de dĂ©passement de soi. DerriĂšre les collants et les chorĂ©graphies, il reflĂšte aussi lâindividualisme triomphant de lâĂšre Reagan et les rĂ©alitĂ©s sociales des annĂ©es 80. Alex Owens, jeune soudeuse qui danse la nuit pour rĂȘver de succĂšs, câest un joli symbole. Mais Ă bien y rĂ©flĂ©chir, câest aussi une parabole un peu gĂȘnante du « self-made man » façon Reagan : bosse comme une dingue, persĂ©vĂšre, et le systĂšme te rĂ©compensera. Pas un mot sur les barriĂšres systĂ©miques, les inĂ©galitĂ©s, ou la prĂ©caritĂ©. Non, Alex rĂ©ussit grĂące Ă son talent et (un peu beaucoup) Ă lâaide de son patron qui lui ouvre quelques portes. Hum, inspirant.
Et on pourrait dire que ces films, tous trĂšs « feel-good« , reflĂštent aussi un autre visage des annĂ©es 80 : celui oĂč les luttes sociales rĂ©elles sont balayĂ©es sous le tapis par des rĂȘves en Technicolor. Reagan aux Ătats-Unis, Thatcher au Royaume-Uni : câĂ©tait la grande Ăšre des privatisations, de la casse des mouvements ouvriers, et du culte de lâindividu. Pendant que certains luttaient pour garder leurs emplois dans lâacier ou les mines, dâautres dansaient sur des synthĂ©s en imaginant un avenir meilleur.
Et que dire du contexte global ? Guerre froide, course Ă lâarmement, tensions gĂ©opolitiques⊠Tout cela semble bien loin des auditions glamour et des projecteurs scintillants. Et pourtant, câest lĂ , juste derriĂšre : une sociĂ©tĂ© polarisĂ©e oĂč rĂ©ussir seul devient une injonction, une nĂ©cessitĂ©. Flashdance, câest un peu le rĂȘve amĂ©ricain dans sa version nĂ©olibĂ©rale la plus dĂ©complexĂ©e.
Pittsburgh en 1983 : Une ville en mutation
Le dĂ©cor de Flashdance nâest pas choisi au hasard. Pittsburgh, surnommĂ©e la « Steel City », est alors une ville en pleine transformation. Ancien bastion de lâindustrie de lâacier, elle subit de plein fouet la dĂ©sindustrialisation. Les usines ferment les unes aprĂšs les autres, laissant des milliers de travailleurs sur le carreau. Ce contexte Ă©conomique difficile nourrit une ambiance oĂč les rĂȘves comme ceux dâAlex semblent dâautant plus prĂ©cieux et inaccessibles. Chaque rue, chaque pont devient le tĂ©moin silencieux dâune Ă©poque oĂč lâespoir se mĂȘle au dĂ©sespoir.
Dans les quartiers populaires, les bars ouvriers et les petits clubs de danse deviennent des lieux dâĂ©vasion. Le South Side et le Strip District vibrent encore dâune Ă©nergie brute, mais lâombre des grĂšves et du chĂŽmage plane sur la ville. La population oscille entre un dĂ©sespoir palpable et une envie farouche de sâaccrocher Ă quelque chose : lâart, la communautĂ©, ou le simple fait de survivre.
MalgrĂ© cette dĂ©solation, Pittsburgh conserve un certain charme industriel. Ses ponts massifs, ses cheminĂ©es dâusine encore fumantes, et ses rues Ă©troites offrent un dĂ©cor rĂ©aliste et marquant. La ville devient presque un personnage Ă part entiĂšre, symbolisant Ă la fois lâoppression et la rĂ©silience. On pourrait y percevoir un curieux paradoxe : un lieu oĂč la chute semble inĂ©luctable mais oĂč lâespoir persiste envers et contre tout.
Inspiration rÎliste : Plongée dans une Pittsburgh de 1983
Pittsburgh en 1983 offre un terrain fertile pour des aventures rĂŽlistes. Voici quelques pistes pour Ă©veiller lâimagination :
Luttes sociales et conflits ouvriers
Les PJ pourraient ĂȘtre des ouvriers, des syndicalistes ou des journalistes enquĂȘtant sur la fermeture imminente dâune usine emblĂ©matique. Que cache cette dĂ©cision ? Une simple rationalisation Ă©conomique ou un complot plus vaste, impliquant des pratiques douteuses de la direction ? Les tensions entre ouvriers et cadres pourraient donner lieu Ă des affrontements physiques et moraux, obligeant les PJ Ă choisir leur camp. Ces luttes pourraient ĂȘtre accompagnĂ©es dâĂ©vĂ©nements inattendus, comme la rĂ©apparition de secrets enfouis liĂ©s Ă lâhistoire industrielle de la ville.
Espionnage industriel
Dans un contexte de guerre froide Ă©conomique, des agents dâentreprise ou des espions Ă©trangers pourraient chercher Ă sâemparer de brevets ou de secrets industriels liĂ©s Ă lâacier et aux nouvelles technologies. Les PJ, simples citoyens, se retrouveraient pris dans un jeu de dupes. Ils pourraient dĂ©couvrir que leurs propres employeurs sont impliquĂ©s dans des opĂ©rations douteuses, ajoutant une dimension personnelle et conflictuelle Ă leur mission. Chaque dĂ©cision pourrait avoir des consĂ©quences immĂ©diates, mais aussi crĂ©er des rĂ©percussions Ă long terme sur la ville.
ScĂšne artistique underground
Les clubs de danse et les communautĂ©s artistiques deviennent le centre dâintrigues sociales. Une performance prĂ©vue pour un gala pourrait servir de couverture Ă une opĂ©ration secrĂšte, ou un danseur pourrait dĂ©tenir des informations compromettantes sur une Ă©lite locale. Les PJ pourraient ĂȘtre entraĂźnĂ©s dans des rivalitĂ©s artistiques qui cachent des enjeux bien plus sombres. Ces intrigues permettent dâexplorer des tensions entre diffĂ©rentes visions de lâart : comme outil dâexpression ou comme moyen dâascension sociale.
Conflits personnels et moraux
Dans une ambiance plus intimiste, les PJ pourraient jongler entre leurs rĂȘves personnels (art, carriĂšre) et leur responsabilitĂ© envers leur communautĂ© (famille, amis, syndicats). Ces dilemmes seraient dâautant plus poignants dans une Ă©poque marquĂ©e par lâindividualisme et la rĂ©cession. Les choix des PJ pourraient avoir des consĂ©quences directes sur leurs relations, leurs opportunitĂ©s professionnelles, voire leur santĂ© mentale. Ces tensions internes pourraient sâincarner dans des scĂšnes de confrontation Ă©motionnelle, aussi marquantes que nâimporte quelle scĂšne dâaction.
Une ambiance unique
Pour retranscrire lâĂ©poque, voici quelques clĂ©s :
Que ce soit pour une partie one-shot ou une campagne plus longue, Flashdance et le Pittsburgh des annĂ©es 80 offrent un cadre rĂ©solument humain, oĂč les personnages peuvent briller, tomber, et se relever, comme Alex sur sa scĂšne de danse. Entre espoir et chaos, cette Ă©poque nâattend que dâĂȘtre explorĂ©e.
Et vous, prĂȘts Ă chausser vos guĂȘtres et Ă entrer dans la lumiĂšre des annĂ©es 80 ?
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Esteban, Zia, Tao, les Cités d'Or ... »
vous connaissez ?
question piĂšge :
c'est quoi l'histoire ?
Les Mystérieuses Cités d'Or
toute leur aventure résumée en 20 minutes...
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(ou https://www.youtube.com/watch?v=eLLN9Kle0NM)
Aujourd'hui, on part Ă la recherche des CitĂ©s d'or ! âââââââââRESEAUX SOCIAUXâââââââââ Discord: https://discord.com/invite/cE8UyHJP5g Twitter: https://x.com/TurtoonTW Tiktok: https://www.tiktok.com/@turtoon_ytb Produit par ArchiProd Merci Ă Kais pour la miniature â ââââââââââ MOTS CLES ââââââââââ⣠#cartoon #dessinanimĂ© #nostalgie #mysterieusescitĂ©
Quelques jeux pour les Hector et Victor de Micronique
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n'empĂȘche qu'ils avaient inventĂ© le morphing, Ă la main avant les ordinateurs https://www.youtube.com/watch?v=lP9EwWls1r0
Générique
« Il était une fois... l'Homme »
Entre 1980 et 1983, ce mystĂ©rieux commando attaque les locaux dâentreprises informatiques, principalement en rĂ©gion toulousaine. Les auteurs de ces attentats ravageurs nâont jamais Ă©tĂ© identifiĂ©s. Mais leur combat, Ă©minemment politique, nâa rien perdu de son actualitĂ©.