⬇️ Français en dessous

This is what you are supporting if you continue to buy eggs. (Spoiler alert: if they aren't crushed alive, it's not much better.)

Stop eating animals !

➡️ Français ici

Voilà ce que vous soutenez si vous achetez encore des œufs. (Spoiler, s’ils ne sont pas broyés vivants, c’est pas beaucoup mieux.)

Arrêtez de manger des animaux !

https://www.l214.com/enquetes/2025/broyage-des-poussins/

#govegan #élevage #souffrance

La joie du Christ en Croix de Pierre DESCOUVEMONT

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#Douleurschroniques : ce que le bouddhisme peut nous apprendre sur la #souffrance http://sci3nc.es/TNSsRp

- https://lamouetteenragee.noblogs.org/post/2025/09/23/dormir-dans-une-voiture-pour-reparer-la-fibre-jusquou-ira-le-mepris/

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Dormir dans une voiture pour réparer la fibre : jusqu’où ira le mépris ?

Cette contribution nous a été proposée par un lecteur, nous avons accepté de la publier. Son témoignage met en lumière une réalité souvent occultée, celle endurée par les travailleurs de la sous-traitance soumis aux conditions de vie et de travail les plus dégradées, les plus précaires… Si, vous aussi, désirez apporter votre témoignage n’hésitez pas à nous contacter.

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Dans une rue de Bomarsund battue par la pluie orageuse, trois techniciens s’acharnent à remettre en service une armoire de fibre optique, pour le compte du groupe Bouygues Telecom, vandalisée, puis incendiée quelques jours plus-tôt. Trois travailleurs employés, qui s’abritent comme ils peuvent sous une tente de fortune, pour que les usagers de Bouygues puissent se connecter à internet. Leur journée ? De 7h30 à 20h.

Leur nuit ?

Dans un C4 Picasso noir, garé à deux pas du « chantier ».

Voilà la réalité.

Et derrière cette réalité, une vérité insupportable : ces hommes ne sont pas salariés de Bouygues, mais sous-traités, étrangers, invisibles. Ils ne portent pas le logo de la firme, mais ce sont eux qui en portent le fardeau.

Pas de chambre d’hôtel, pas de repas chaud, pas de conditions dignes et même pas de toilettes.

Seulement la fatigue, le froid et le silence.

Car c’est bien là que réside le cœur du problème : la sous-traitance en cascade

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#SousTraitance #Maltraitance #Souffrance #Mepris #Travail

Dormir dans une voiture pour réparer la fibre : jusqu’où ira le mépris ? |

MONTÉE DU FASCISME : "RETAILLEAU, C'EST LE SAL*UD À L'ÉTAT PUR" | HUGUES JALLON, JULIEN THÉRY

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14.09.2025 #Gaza

🇵🇸 🙏 Une jeune Palestinienne, déplacée de force du nord vers une destination inconnue dans le sud, dénonce la COMPLICITE DU MONDE ENTIER dans sa souffrance et celle de centaines de milliers d'autres personnes comme elle à Gaza.

via Ashraf Amra 🇵🇸 Photographe Freelance Photojournalist

#palestine #StopGenocide #genocide #humanrights #droitshumains #enfant #enfants #child #children #souffrance #pain #breakthesiege #sailtogaza #sumud

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"Deux jeunes #femmes aux #destins sans pareil.

L’une est l’enfant du Maître d’un ordre d’assassins au service du #roi.

L’autre née dans la #douleur, la #souffrance.

Ces deux destins brisés vont faire d’elles deux êtres particuliers aux yeux de l’entité du sang, Naa’Ma.
Il leur promettra la gloire, l’amour et tout ce dont elles peuvent avoir envie.

Des cailloux bleu plein les dents – Caroline ANSSENS – 2022 – Ed. Et le bruit de ses talons

Quatrième de couverture

Ou le long chemin rédempteur d’une adolescente confrontée à la perte de sa mère. Colère, frustration, ambivalence des sentiments et force de vie puisée dans ce que sa mère aura eu le temps de lui transmettre. Orphelins précoces. Férocement rageur.

Mon Avis

Perdre un être cher, est terrible. La vie n’est plus la même. Il y a un avant et un après. Puis, les premières heures, sans lui, arrivent, ainsi que le brouillard dans lequel le survivant évolue. Le temps qui s’arrête. Les souvenirs. Les regrets. Tous ceux qui ont perdu un proche connaissent cette situation. C’est ce dont nous parle ce roman. Une mère s’en va, laissant derrière elle des enfants dont de très jeunes enfants. La narratrice, adolescente, raconte. Ce qui fait un écho au plus profond d’un humain qui a vécu la même situation que cette jeune fille qui tente de se remettre de la disparition maternelle.

Pas de larmes. Pas d’atermoiement. Mais, des mots qui se suivent. Des mots qui expriment le vide ressenti. Cet état de manque à tous les instants de la vie. Ces moments de maladie incompris. Ces regards profonds qui gênaient cette jeune femme. Qui la questionnaient. Ces discussions avortées avec une adolescente rebelle. Une adolescente devenue femme. Une femme qui s’interroge, qui doute, qui regrette de n’avoir pas compris. Comment savoir si rien n’est dit? L’auteur laisse son personnage s’épancher, témoigner de son long chemin d’un deuil douloureux. La douceur, la force des mots, rendent le récit touchant, émouvant. Cela démontre que l’on ne se remet pas toujours de la perte d’un être cher.

Ce roman profondément humain démontre qu’un deuil n’est jamais vraiment terminé. Chaque mot, chaque situation, ramène son lot de souvenirs. En effet, chaque mot, chaque phrase, vise juste. C’est profond, fort. Cela démontre bien le désarroi de la famille. Du malade. Les questionnements. Les remords tardifs. Toute cette période vécue dans un brouillard psychologique. Ce roman est superbe et est salutaire pour tous ceux qui vivent où ont vécu une situation de deuil. Il aide à comprendre ce qui a été ressenti. À déculpabiliser car, finalement, quelqu’un d’autre a vécu la même chose. J’ai aimé chaque mot, chaque situation, jusqu’à la dernière page. C’est un roman-pansement. Un roman d’une grande empathie.

 

9782379120459   Et le Bruit de ses Talons  119 p.    15€

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