Ce matin, dans une boite à livre, je suis tombé sur un recueil de poèmes d'un auteur que je ne connaissais absolument pas, un révolutionnaire bulgare de la fin du XIXème : #KhristoBotev, dans une traduction de #PaulÉluard.
Ben ya rien de vraiment bien fin politiquement (ou pas politiquement), et maintenant il se ferait cancel direct, comme ce poème « Rapt d'une jeune fille consentante », avec ce couple de vers pas subtils :
« Et quand elle lui a souri
Son fusil fut de la fête. »




