Mort de la gendarme Mélanie Lemée, affaire Adama Traoré, « racisme anti-blancs »... Le coup de gueule de l’ancien boxeur Patrice Quarteron, originaire du quartier sensible de la Grande-Borne.

https://www.youtube.com/watch?v=WuEe8Xb9W70

#politique
#racisme ?
#antiracisme ?
#opinion
#PatriceQuarteron
#france
#diviser ?

🇨🇵

Patrice Quarteron : «A chaque fois qu’un noir a un souci, il y a forcément une défense massive"

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ou prendre le risque de l’isolement avec – déjà – l’accusation de #diviser le mouvement antiraciste."

Sadri Khiari, "SOS Racisme… des potes qui nous voulaient du bien"

https://bit.ly/3dIqSPI

SOS Racisme… des potes qui nous voulaient du bien | Indigènes de la République

Le succès de SOS-Racisme a généralement été appréhendé comme une simple opération de « récupération », concoctée dans les cabinets de Mitterrand et favorisée par « l’immaturité » des mouvements « beurs ». Dans sa thèse sur le traitement médiatique de l’association anti-raciste, P. Juhem [1] a mis en lumière les multiples déterminations qui ont rendu possible la « récupération ». Plutôt que de recourir à l’hypothèse fantaisiste d’une vaste manipulation engagée par une sorte de « comité central » des médias dominé par les socialistes, il a tenté de repérer les logiques spécifiques au champ médiatique, la pluralité des facteurs (enjeux internes, compétitions, stratégies commerciales, évolution du profil idéologique des journalistes, etc.), qui ont convergé pour aboutir à une gigantesque campagne de promotion de SOS-Racisme, sans minimiser, pour autant, la volonté politique de certains responsables socialistes – en premier lieu, Mitterrand – et l’efficacité de leurs interventions dans un contexte favorable.