Le secret autour de l’incarcération de Sarkozy aura tenu 2h 😂 Les médias font la course à "l'exclu" alors qu'ils ont reçu leurs infos à peu près en même temps...
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Maeva Ghennam condamnée pour pratiques commerciales trompeuses : un an de prison avec sursis et 150 000 € d’amende
L’influenceuse et ancienne candidate de télé-réalité Maeva Ghennam a été condamnée ce vendredi 10 octobre par le tribunal judiciaire de Paris à un an de prison avec sursis et 150 000 euros d’amende. Cette décision intervient dans le cadre de pratiques commerciales trompeuses liées à la promotion de produits minceur, esthétiques et financiers sur ses réseaux sociaux. L’affaire soulève un débat sur les dérives des influenceurs et la régulation de la publicité en ligne.
Un procès qui se déroule sans la présence de l’accusée
Une audience houleuse et inattendue
Le procès de Maeva Ghennam, 28 ans, s’est ouvert dans des conditions particulières au tribunal judiciaire de Paris. Son avocate, Me Ilyacine Maallaoui, a tenté en vain de reporter l’audience, arguant que sa cliente n’avait jamais reçu de convocation. L’influenceuse, résidant à Dubaï, avait découvert la date de son procès uniquement via la presse people. Le président a néanmoins décidé de poursuivre l’audience sans plan B juridique, aboutissant à un jugement immédiat.
Une condamnation prononcée malgré son absence
Le tribunal a finalement condamné Maeva Ghennam à un an de prison avec sursis et 150 000 euros d’amende pour douze infractions correspondant à six pratiques commerciales trompeuses commises entre 2019 et 2023. L’influenceuse n’a pas pu défendre sa position en personne, et son absence a été justifiée par une interdiction de quitter Dubaï, suite à une affaire locale impliquant une altercation avec son ex-compagne.
Les pratiques commerciales trompeuses reprochées
Publicité déguisée et promesses mensongères
Maeva Ghennam est accusée d’avoir promu de manière mensongère des produits minceur, des crèmes volumatrices pour les fesses et les seins, ainsi que des opérations de trading fictives. Selon la répression des fraudes, elle omettait systématiquement de préciser qu’il s’agissait de contenus sponsorisés, violant ainsi les obligations légales relatives à la transparence publicitaire.
Une longue liste d’infractions
Les enquêteurs ont relevé des allégations mensongères allant de la perte de 7 kg en 20 jours grâce à un thé minceur, à l’effet miraculeux de bonbons pour faire pousser les cheveux. Elle a également recommandé des pratiques médicales réservées aux professionnels, comme le microneedling ou le blanchiment dentaire américain. Face à ces reproches, l’influenceuse a reconnu avoir « un peu emballé la présentation des produits ».
Un phénomène récurrent chez les influenceurs
Le cas de Maeva Ghennam n’est pas isolé
L’affaire rappelle celle de Rym Renom, également ancienne candidate de télé-réalité, condamnée en juillet à la même peine pour des pratiques similaires. Depuis plusieurs années, la justice française multiplie les interventions contre les dérives de la publicité déguisée sur les réseaux sociaux, notamment concernant la chirurgie esthétique, les produits minceur et les arnaques financières.
Un secteur sous contrôle renforcé
Les influenceurs issus de la téléréalité, comme Maeva Ghennam, font l’objet d’une attention particulière des autorités. La Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) veille à ce que les consommateurs soient correctement informés, et à ce que les promotions respectent la législation en matière de publicité et de santé publique.
Une carrière marquée par la polémique
Une notoriété construite sur la téléréalité
Maeva Ghennam s’est fait connaître dans Les Marseillais avant de bâtir une carrière d’influenceuse comptant plus de 3 millions d’abonnés. Elle a déjà été au centre de polémiques, notamment en 2021, lorsqu’elle avait diffusé en direct sur Snapchat des interventions esthétiques réalisées par son gynécologue. Les réactions sur les réseaux sociaux avaient été immédiates, l’obligeant à présenter des excuses publiques.
Des affaires en cours à Dubaï et sur les réseaux
Actuellement à Dubaï, elle fait face à une interdiction de quitter le territoire liée à une altercation filmée avec son ex-compagne. Elle est également visée par des plaintes pour incitation à la haine et menaces de mort en raison de publications jugées problématiques sur ses comptes sociaux. Ces différents dossiers compliquent sa situation et limitent sa capacité à se défendre dans le procès français.
La réaction de l’influenceuse et de son avocat
Un sentiment d’injustice
Maeva Ghennam et son avocat dénoncent une décision « disproportionnée » et affirment ne pas avoir été correctement informés du jugement. L’influenceuse déclare ne pas avoir les moyens financiers de s’acquitter de l’amende et envisage de faire appel ainsi qu’une opposition au jugement rendu.
Une affaire symptomatique des dérives numériques
Cette condamnation souligne la vigilance croissante des autorités françaises face aux abus des influenceurs et à la nécessité de protéger les consommateurs contre les publicités trompeuses et les promesses mensongères. Les sanctions visent à responsabiliser les personnalités publiques et à rétablir la confiance dans le secteur numérique.
La condamnation de Maeva Ghennam marque un nouveau chapitre dans la régulation des pratiques commerciales sur les réseaux sociaux. L’affaire illustre les tensions entre célébrité, responsabilité et législation, tout en posant la question de la proportionnalité des sanctions face aux dérives numériques. Elle rappelle que l’influence en ligne implique des obligations légales strictes et des conséquences judiciaires significatives.
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Diddy implore la clémence avant sa condamnation : “Je ne commettrai plus jamais de crime”
À moins de 24 heures de sa condamnation, Sean “Diddy” Combs a adressé une lettre au juge pour demander la clémence. Le magnat du hip-hop reconnaît ses erreurs passées et promet de ne plus jamais enfreindre la loi. Son objectif : redevenir un père et un fils exemplaire tout en poursuivant son engagement dans sa communauté.
Une lettre poignante au juge
Des excuses publiques et assumées
Sean “Diddy” Combs a pris la plume pour adresser une lettre de quatre pages au juge Arun Subramanian, dans laquelle il sollicite une sentence clémente. Le célèbre entrepreneur y exprime des excuses profondes : « Tout d’abord, je tiens à m’excuser et à dire combien je suis sincèrement désolé pour la douleur et le tort que j’ai causés aux autres par mon comportement », écrit-il. Il affirme prendre l’entière responsabilité de ses actes passés, soulignant que des simples mots ne suffiraient jamais à effacer la souffrance infligée.
Une introspection douloureuse
Dans sa lettre, Diddy revient sur son incarcération de 13 mois, expliquant que les images de son agression sur Cassie le hantent quotidiennement : « Les scènes et images de moi en train d’agresser Cassie défilent dans ma tête jour après jour. J’ai littéralement perdu la raison », confie-t-il. Il décrit un parcours semé d’excès et de dépendances, lié selon lui à son égoïsme, et affirme que la prison l’a profondément transformé, tant sur le plan mental que physique et spirituel.
Un appel à la clémence et à la rédemption
Une volonté de changer
Diddy demande au juge une seconde chance pour pouvoir redevenir un meilleur père pour ses sept enfants et un fils attentif pour sa mère malade. « Aujourd’hui, je demande humblement une autre chance — une autre chance d’être un meilleur père, une autre chance d’être un meilleur fils, une autre chance d’être un meilleur leader dans ma communauté, et une autre chance de mener une meilleure vie », écrit-il. Il insiste sur le fait qu’il ne cherche ni sympathie ni pitié, mais souhaite montrer que cette expérience a bouleversé sa vie et qu’il ne commettra plus jamais de crime.
Une vie transformée derrière les barreaux
Le rappeur explique que son incarcération a été une épreuve de transformation : « L’ancien moi est mort en prison et une nouvelle version de moi est née. La prison vous change ou vous tue — j’ai choisi de vivre. » Ces mots traduisent une volonté de rédemption sincère, dans un contexte où sa carrière et sa réputation sont en jeu.
Les enjeux judiciaires
Une demande de peine sévère par les procureurs
Plus tôt dans la semaine, les procureurs ont requis une peine minimale de 11 ans de prison pour les deux chefs d’accusation de transport pour prostitution. Ces demandes reflètent la gravité des charges retenues contre le magnat du hip-hop et la volonté de la justice de sanctionner de manière exemplaire ces infractions.
La défense plaide pour une peine réduite
L’avocat de Diddy a renforcé sa demande pour que la sentence soit limitée à 14 mois, incluant le temps déjà purgé, ce qui permettrait à l’artiste d’être libéré avant la fin de l’année. Cette requête, présentée dans le cadre de négociations judiciaires, illustre la bataille juridique en cours pour atténuer la peine du célèbre entrepreneur.
Une audience décisive imminente
Un verdict attendu avec attention
Sean “Diddy” Combs doit comparaître demain matin à 10 h, heure de l’Est, pour sa condamnation. Lors de cette audience, il devrait s’adresser directement au juge, renforçant le poids de sa lettre et de ses arguments en faveur de la clémence. La tension est palpable, tant pour l’artiste que pour ses fans et sa famille.
Un tournant dans sa carrière et sa vie personnelle
Cette condamnation pourrait marquer un tournant décisif dans la vie de Diddy, tant sur le plan personnel que professionnel. La sentence finale déterminera sa capacité à poursuivre ses engagements familiaux et communautaires, mais aussi à reconstruire sa réputation, mise à mal par les accusations portées contre lui.
Sean “Diddy” Combs fait face à l’une des périodes les plus critiques de sa vie, conscient des erreurs passées et désireux de rédemption. Sa lettre au juge illustre une introspection profonde et une volonté sincère de changer. La décision judiciaire à venir décidera de son avenir et de la possibilité pour l’artiste de retrouver sa place auprès de sa famille et de sa communauté.
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Les Français et la condamnation de Nicolas Sarkozy
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Et précision importante : le fameux faux sur lequel s’appuient journalistes et élus , comme @davidlisnard ( dans les sms lus à l’antenne par #Praud ) ce fameux document n’est pas un faux malgré les charges répétées de la défense #Sarkozy pour le faire annuler . Je résume : si