Cette semaine sur Oxytude, nos idées cadeaux pour Noël et l'actu nouvelles techno et accessibilité.
#NVDA #Qobuz #Comet #Perplexity #QuickShare #AirDrop #Alexa+ #AluminiumOS #impots.gouv.fr #Formule1 #Audiodescription #HumanWare #BrailleNoteEvolve #DGCCRF

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Oxytude – Accessibilité, informatique et nouvelles technologies

🐼🇨🇳 Préfère la diplomatie du panda, que le e~commerce déloyal.
#BEAUVAL #SHEIN #BHV #DGCCRF #RP_CHINE

Shein, pedofilia y descontrol: cuando el mercado global necesita que el Estado diga basta

Lo que avanza cuando el Estado se corre. Por Celina Fraticiangi para Noticias La Insuperable Una muñeca con rostro infantil y un osito de peluche en brazos. Así fue descripta una “muñeca sexual de 80 centímetros” vendida por la plataforma china Shein bajo el rótulo de “juguete de masturbación masculina con cuerpo erótico y vagina y ano reales”. La aberración fue detectada por las autoridades francesas, que denunciaron a la empresa por comercializar productos de carácter […]

https://noticiaslainsuperable.com.ar/2025/11/04/shein-pedofilia-y-descontrol-cuando-el-mercado-global-necesita-que-el-estado-diga-basta/

Mobilisation anti Marketplaces

Si j'étais une star en automatisation, coding ou tout simplement pour créer des outils, je postulerais à la "DGCCRF" ou chez "Que Choisir" pour les aider à avoir des vrais outils.

L'urgence, c'est de stopper l'accès à ces plateformes qui proposent plus de 90% de produits non conformes ( https://www.quechoisir.org/enquete-temu-shein-petits-prix-maxi-risques-n172256/) et maintenant des produits pedopornographiques !!!!

Appel aux meilleur•e•s !!!

#dgccrf #coding #Responsabilite

Temu, Shein - Petits prix, maxi-risques - Enquête

Les produits à bas prix vendus sur les plateformes chinoises Shein et Temu sont-ils réellement dangereux ? Pour en avoir le cœur net, nous avons commandé et testé, avec nos partenaires européens, des dizaines de chargeurs USB, jouets et bijoux. Le constat est sans appel : la majorité des produits ne répondent pas aux normes en vigueur dans l’Union européenne et présentent un risque pour les utilisateurs.

UFC-Que Choisir

Sur #SNCFConnect
j'ai acheté un billet de train Nice-Marseille qui partait à 7h24 (arrivée à 10h03)
Le train a été supprimé
Franchement, j'étais serein. Je me suis dit "vu que mon train est SUPPRIMÉ, ils ne vont pas faire d'histoires pour me le rembourser"

1er point : Tu as acheté ton train sur une plateforme, mais cette plateforme (SNCFConnect) ne gère pas le SAV et c'est déjà un souci en soi.
Je n'ai pas acheté mon billet à quelqu'un d'autre, mais à eux.

Je contacte donc #ZOURégionSud
Vous noterez le Région Sud dans le nom, qui laisse entendre que c'est un service public payé avec les impôts

Aujourd'hui, ils me répondent :
"Après étude votre demande, nous devons malheureusement vous informer que, conformément à la politique de dédommagement ZOU, nous ne pouvons répondre favorablement à votre demande de remboursement.
En effet, avec le même billet vous aviez la possibilité de prendre un autre train ZOU pour le même trajet hors TGV et Intercités."

Y'a tellement de choses qui ne vont pas...

Si j'avais pris le TER suivant, il fait le trajet 8h23 > 11h07 donc, a minima, tu as une heure de retard quand tu arrives

IMPORTANT
Le train part 59 minutes après le précédent, mais arrive 64 minutes plus tard
Pourquoi ?

Je vous mets le lien vers le site du Ministère de l'Economie : https://www.economie.gouv.fr/particuliers/voyager-et-se-deplacer/voyage-en-train-quels-sont-vos-droits-en-cas-dannulation-ou-de

"En cas d’annulation ou de report de plus d’une heure au départ de votre train, vous devez être correctement informé de l'incident pendant l’attente, et vous avez le choix entre deux solutions :
1/ poursuivre votre voyage ou être réacheminé vers la destination finale avec un autre train sans frais supplémentaires, dans des conditions comparables et dans les meilleurs délais (ou à une date ultérieure, à votre convenance),
2/ annuler votre voyage : votre billet est alors intégralement remboursé (y compris le billet retour en cas de billet aller-retour). Le remboursement est dû dans le mois qui suit la demande. Si vous avez été remboursé, notez que vous ne pouvez pas prétendre en plus à une indemnisation."

OK
Donc ils se foutent de la gueule de l'usager en veillant à ce que le départ du train ne soit pas reporté de plus d'une heure (puisque 59 minutes)

On notera le :
"Ce règlement est applicable dans son intégralité aux trajets internationaux de transport ferroviaire de voyageurs et aux services intérieurs de transport ferroviaire de voyageurs (lignes TGV ou intercités). Ce règlement est applicable partiellement aux services de transports ferroviaires urbains et suburbains ainsi qu’aux services de transports régionaux (TER)."
Genre les TER sont des trains qui sont libres de se moquer du consommateur...
Et c'est d'autant plus problématique sur un trajet comme Nice-Marseille où tu as des TER et des TGV : l'appli te propose le trajet en fonction de l'heure et, en fait, suivant le cas, t'as un règlement national ou pas !

Dans tous les cas, si tu rates le train de 7h24
(et, si tu l'as pris, c'est que tu DEVAIS prendre celui-là, c'était pas pour jouer à mettre le réveil plus tôt)
le train suivant est à 7h58 et c'est un INOUI

Fun fact : le TER est à 40,80 € et le suivant, le INOUI qui part donc avant le TER de 8h23 est à... 34 € !!!

Dans tous les cas, quand une prestation que tu as payée est supprimée, on doit te rembourser
On ne peut pas te répondre : "t'avais qu'à prendre la prestation d'après"

Donc
1/ Non, c'est juste pas possible : le train est supprimé, tu dois le rembourser, tu ne peux pas répondre que c'est pas grave, y'a d'autres trains
Si une personne a pris celui-ci, c'est qu'elle devait le prendre

2/ On parle de 40 € pour faire Nice-Marseille, c'est pas une "petite somme"
et c'est honteux, en vrai
Pour donner une échelle de prix, l'avion pour Barcelone est à 46 €
et, pour aller à Paris, c'est 36 € (avion, toujours)
-- Oui, mais, pour avoir ce tarif, tu dois t'y prendre à l'avance
-- Mais je m'y étais pris à l'avance parce que c'était un voyage que j'avais prévu

Bref, je ne sais pas encore si je vais faire un courrier à Zou ou directement à la direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes #DGCCRF
Dans tous les cas, vu qu'un courrier de réclamation, ça n'est pas public, une petite publi sur les RS, c'est pas mal pour alerter sur le souci

Maeva Ghennam condamnée pour pratiques commerciales trompeuses : un an de prison avec sursis et 150 000 € d’amende

L’influenceuse et ancienne candidate de télé-réalité Maeva Ghennam a été condamnée ce vendredi 10 octobre par le tribunal judiciaire de Paris à un an de prison avec sursis et 150 000 euros d’amende. Cette décision intervient dans le cadre de pratiques commerciales trompeuses liées à la promotion de produits minceur, esthétiques et financiers sur ses réseaux sociaux. L’affaire soulève un débat sur les dérives des influenceurs et la régulation de la publicité en ligne.

Un procès qui se déroule sans la présence de l’accusée

Une audience houleuse et inattendue

Le procès de Maeva Ghennam, 28 ans, s’est ouvert dans des conditions particulières au tribunal judiciaire de Paris. Son avocate, Me Ilyacine Maallaoui, a tenté en vain de reporter l’audience, arguant que sa cliente n’avait jamais reçu de convocation. L’influenceuse, résidant à Dubaï, avait découvert la date de son procès uniquement via la presse people. Le président a néanmoins décidé de poursuivre l’audience sans plan B juridique, aboutissant à un jugement immédiat.

Une condamnation prononcée malgré son absence

Le tribunal a finalement condamné Maeva Ghennam à un an de prison avec sursis et 150 000 euros d’amende pour douze infractions correspondant à six pratiques commerciales trompeuses commises entre 2019 et 2023. L’influenceuse n’a pas pu défendre sa position en personne, et son absence a été justifiée par une interdiction de quitter Dubaï, suite à une affaire locale impliquant une altercation avec son ex-compagne.

Les pratiques commerciales trompeuses reprochées

Publicité déguisée et promesses mensongères

Maeva Ghennam est accusée d’avoir promu de manière mensongère des produits minceur, des crèmes volumatrices pour les fesses et les seins, ainsi que des opérations de trading fictives. Selon la répression des fraudes, elle omettait systématiquement de préciser qu’il s’agissait de contenus sponsorisés, violant ainsi les obligations légales relatives à la transparence publicitaire.

Une longue liste d’infractions

Les enquêteurs ont relevé des allégations mensongères allant de la perte de 7 kg en 20 jours grâce à un thé minceur, à l’effet miraculeux de bonbons pour faire pousser les cheveux. Elle a également recommandé des pratiques médicales réservées aux professionnels, comme le microneedling ou le blanchiment dentaire américain. Face à ces reproches, l’influenceuse a reconnu avoir « un peu emballé la présentation des produits ».

Un phénomène récurrent chez les influenceurs

Le cas de Maeva Ghennam n’est pas isolé

L’affaire rappelle celle de Rym Renom, également ancienne candidate de télé-réalité, condamnée en juillet à la même peine pour des pratiques similaires. Depuis plusieurs années, la justice française multiplie les interventions contre les dérives de la publicité déguisée sur les réseaux sociaux, notamment concernant la chirurgie esthétique, les produits minceur et les arnaques financières.

Un secteur sous contrôle renforcé

Les influenceurs issus de la téléréalité, comme Maeva Ghennam, font l’objet d’une attention particulière des autorités. La Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) veille à ce que les consommateurs soient correctement informés, et à ce que les promotions respectent la législation en matière de publicité et de santé publique.

Une carrière marquée par la polémique

Une notoriété construite sur la téléréalité

Maeva Ghennam s’est fait connaître dans Les Marseillais avant de bâtir une carrière d’influenceuse comptant plus de 3 millions d’abonnés. Elle a déjà été au centre de polémiques, notamment en 2021, lorsqu’elle avait diffusé en direct sur Snapchat des interventions esthétiques réalisées par son gynécologue. Les réactions sur les réseaux sociaux avaient été immédiates, l’obligeant à présenter des excuses publiques.

Des affaires en cours à Dubaï et sur les réseaux

Actuellement à Dubaï, elle fait face à une interdiction de quitter le territoire liée à une altercation filmée avec son ex-compagne. Elle est également visée par des plaintes pour incitation à la haine et menaces de mort en raison de publications jugées problématiques sur ses comptes sociaux. Ces différents dossiers compliquent sa situation et limitent sa capacité à se défendre dans le procès français.

La réaction de l’influenceuse et de son avocat

Un sentiment d’injustice

Maeva Ghennam et son avocat dénoncent une décision « disproportionnée » et affirment ne pas avoir été correctement informés du jugement. L’influenceuse déclare ne pas avoir les moyens financiers de s’acquitter de l’amende et envisage de faire appel ainsi qu’une opposition au jugement rendu.

Une affaire symptomatique des dérives numériques

Cette condamnation souligne la vigilance croissante des autorités françaises face aux abus des influenceurs et à la nécessité de protéger les consommateurs contre les publicités trompeuses et les promesses mensongères. Les sanctions visent à responsabiliser les personnalités publiques et à rétablir la confiance dans le secteur numérique.

La condamnation de Maeva Ghennam marque un nouveau chapitre dans la régulation des pratiques commerciales sur les réseaux sociaux. L’affaire illustre les tensions entre célébrité, responsabilité et législation, tout en posant la question de la proportionnalité des sanctions face aux dérives numériques. Elle rappelle que l’influence en ligne implique des obligations légales strictes et des conséquences judiciaires significatives.

#condamnation #DGCCRF #influenceuse #MaevaGhennam #pratiquesCommercialesTrompeuses #publicitéMensongère #réseauxSociaux #sursis #téléréalité #tribunalDeParis

Chauffage au bois : explosion des fraudes et escroqueries en ligne, alerte de la DGCCRF

Une enquête nationale menée par la DGCCRF révèle une hausse inquiétante des arnaques liées à la vente de bois de chauffage, notamment sur internet. Entre fausses annonces, sites frauduleux et clauses abusives, les consommateurs sont de plus en plus exposés.

Charente Libre
Booking.com épinglé en France pour ses pratiques "déséquilibrées" envers les hôteliers
https://mac4ever.com/190593
#Mac4Ever #booking #DGCCRF
Y-a-t'il des gens qui écoutent plus de trois secondes les appels téléphoniques d'une voix enregistrée qui disent : "Oui je sais vous avez déjà été appelé..." et connaissent la suite ? #bloctel #suspens #démarchagetéléphonique #dgccrf
La DGCCRF traque les influenceurs

En 2023, la France est devenue le premier pays d'Europe à règlementer le secteur des influenceurs pour plus de transparence et éviter les dérives. Pour faire respecter la loi les services de répression des fraudes, la DGCCRF s'appuie sur un réseau d'enquêteurs spécialisés sur l'influence commerciale

France Culture