Attacke auf Radstar van der Poel: Flaschenwerfer von Paris-Roubaix bittet um Verzeihung
L’infolettre du 14 avril 2025 : l’intelligence de Ferrand-Prévot et la technique de Van der Poel
Paris-Roubaix : l’intelligence de Ferrand-Prévot, la technique de Van der Poel
L’arc-en-ciel n’a pas brillé, samedi, sur les pavés de l’Enfer du Nord. Après un Tour des Flandres parfaitement maîtrisé, la Belge Lotte Kopecky (SD Worx-Protime) a été malmenée par la tactique collective ce week-end. La formation néerlandaise s’annonçait une nouvelle fois comme la grande favorite de l’épreuve nordiste, de par le succès de Kopecky l’an dernier et ceux de la Belge et de Lorena Wiebes sur l’ensemble des dernières classiques printanières. Avec les deux leaders au départ de Paris-Roubaix, le collectif devait à nouveau assurer son statut face à diverses armadas prêtes à mettre fin à l’hégémonie de la troupe à Danny Stam.
Kopecky et Wiebes semblaient ainsi en position de force lorsque, à la faveur d’une chute qui a notamment bloqué Pauline Ferrand-Prévot (Visma-Lease a Bike) ou Elisa Balsamo (Lidl-Trek), les deux se sont retrouvées en tête avec l’expérimentée Marianne Vos (Visma-Lease a Bike). Mais les deux ont paru tâtonner, ne sachant pas qui emmènerait qui vers le vélodrome. Malgré cette position de force, les deux représentantes de la SD Worx-Protime ont manqué l’occasion de faire le break, et ont laissé leurs adversaires rentrer. Et quand de nouvelles offensives se sont enchaînées, Kopecky et Wiebes ont préféré rester dans les roues, espérant un retour grâce à l’aide des autres équipes, qui ne voulaient justement pas aider les deux favorites.
“Notre équipe a dû très tôt travailler après l’attaque (à près de 75 km de l’arrivée, NDLR) d’Ellen van Dijk. Il n’y avait alors plus personne pour aidder Lotte et moi”, a justifié Lorena Wiebes au micro de la VRT. “Après, il faut faire un pari, car Marianne (Vos) semblait très forte. Lotte a encore tout fait pour refermer l’écart, mais il n’y avait rien d’autre à faire”, estime la championne d’Europe. Quand Pauline Ferrand-Prévot a attaqué à une trentaine de kilomètres du but, il y avait encore la possibilité de réagir. De même quand la Française a lâché sa compagne d’échappée, Emma Norsgaard, dans le secteur de Camphin-en-Pévèle, il y avait encore une demi-minute à combler, certainement faisable en une attaque bien sentie. Mais à la sortie du Carrefour de l’Arbre, l’écart avait quasiment doublé, alors que Kopecky et Wiebes restaient étonnamment en retrait, espérant que les autres formations fassent le travail. C’est seulement après le secteur de Gruson que Kopecky a mené le groupe de poursuivants, mais l’avantage de Ferrand-Prévot était déjà trop important.
“Cela aurait été bien de recevoir plus de soutien, mais je comprends qu’il n’est pas venu. Nous avons beaucoup gagné en tant qu’équipe, et cela donne une situation durant laquelle elles préfèrent voir une autre équipe gagner”, a admis à la VRT Lotte Kopecky, qui a finalement craqué dans le dernier faux-plat vers Roubaix, à la suite de l’attaque d’Elise Chabbey (FDJ-Suez). Ferrand-Prévot, elle, était déjà bien loin, prête à savourer son premier succès depuis son retour sur la route, et surtout le premier succès français sur Paris-Roubaix Femmes. Un sacre qui vient compléter un palmarès déjà exceptionnel (championne du monde de cyclo-cross, sur route, de gravel et de VTT cross-country, championne olympique de VTT cross-country…).
“Je ne me rends pas encore compte de ce que j’ai réalisé. Peut-être que je me rendrai compte qu’il s’agit de l’une des plus belles victoires de ma carrière”, a commenté la Française de 33 ans après l’épreuve. “Désormais, nous avons deux pavés à la maison”, référence à celui remporté voici trois ans par son compagnon Dylan van Baarle. Et dire que PFP n’était pas prévue sur ces courses pavées et vise un premier succès sur le Tour de France dans les trois ans… Avec ce succès et cet enchaînement de places d’honneur depuis les Strade Bianche, la Française se pose déjà comme une sérieuse outsider pour le Tour.
Un autre candidat pour le Tour était présent le lendemain sur les pavés du Nord. Le Slovène Tadej Pogacar (UAE Team Emirates XRG) était le plus attendu du peloton masculin, malgré son inexpérience sur ces routes (à l’exception de deux participations chez les juniors). Pouvait-il réaliser le même exploit qu’une semaine auparavant sur le Tour des Flandres et devenir le premier vainqueur du Tour de France sortant à remporter Paris-Roubaix depuis un certain Eddy Merckx en 1973 ? Le champion du monde donnait une réponse avant même la Trouée d’Arenberg, répliquant à la première offensive du Néerlandais Mathieu van der Poel (Alpecin-Deceuninck) à plus de 100 kilomètres de l’arrivée, avant de tenter une accélération similaire. Sur les pavés infernaux du bois de Wallers, il remettait encore la pression, avant que MVDP réplique cette fois et lui rappelle qui est le spécialiste des pavés. “Ce n’était pas une grande surprise de le voir à l’avant. Il est l’un des meilleurs coureurs du monde, si ce n’est le meilleur”, a rappelé en conférence de presse le Néerlandais, conscient de devoir redoubler d’efforts sur ces routes.
Les offensives s’enchaînaient comme lors du match de boxe du Tour des Flandres. Le suspense était insoutenable, jusqu’à laisser les deux favoris se rendre coup pour coup en duel, sans aucun autre coureur à leur côté, chacun éliminé par la malchance (crevaison pour Mads Pedersen) ou le physique (Wout van Aert, Stefan Bissegger, Jasper Philipsen…). Un temps, on pensait le champion du monde capable de sortir son rival néerlandais de sa roue. Prêt à confirmer son hégémonie au nombre de monuments remportés. Pas question de laisser MVDP repasser au-dessus des sept victoires. Encore fallait-il le battre sur son terrain. Encore fallait-il le sortir de la roue. Mais sur Paris-Roubaix, la puissance seule ne suffit pas.
Dans le secteur 9 de Pont-Thibault, “Pogi” remettait une mine, mais découvrait les répercussions d’une telle attaque. Dans un virage à droite, il arrivait trop vite, bloquait les freins et fonçait sur le bas-côté jusqu’à percuter une banderole publicitaire qui allait le mener à la chute. Van der Poel, en adepte du cyclo-cross, ne regardait déjà plus la roue arrière de Pogacar, mais, en coureur expérimenté, visait déjà la sortie du virage, quitte à sortir un peu large dans la pelouse fatale à son rival. Mais pour le champion du monde de cyclo-cross, la sortie était bien meilleure et lui permettait de se dégager un avantage de 20 secondes face à un coureur, pour la première fois depuis longtemps, pris dans la panique d’un changement de vélo. Pogacar évacuait rapidement tout stress pour se lancer dans une poursuite de près de 40 kilomètres, mais l’écart était déjà fait. Même s’il revenait à 12 secondes de Van der Poel, l’avantage était à l’homme devant, comme souvent dans ce type de situation.
“Je vais revoir les images dans quelques jours et me sentir bête. C’est comme ça, c’est une situation de course, j’ai mal jugé la situation. C’était un all-in à cet endroit-là de la course, tout ou rien… “, a commenté Pogacar au micro de la RTBF, confirmant avoir pris un risque mal calculé. “Au début, j’ai attendu, mais je ne savais pas qu’il avait aussi chuté. Je pensais juste qu’il avait raté le virage”, a pour sa part indiqué Van der Poel en conférence de presse. “Mais l’écart était si grand, et à un certain point, tu dois y aller. Les erreurs font partie de Roubaix. Tu ne sais jamais ce qui peut arriver. J’ai aussi eu une crevaison dans (l’avant-)dernier secteur, donc ça fait partie de la course”, a-t-il expliqué, rappelant son propre changement de vélo… alors que son avantage sur le Slovène était déjà de plus d’une minute. Cet incident n’a d’ailleurs eu aucun impact sur l’écart entre les deux premiers à l’arrivée.
Van der Poel et Pogacar ont prouvé durant tout ce printemps qu’ils étaient tout simplement intouchables, réclamant le statut de meilleurs coureurs de classiques de cette génération. Avec huit monuments chacun, la bagarre semble prête pour durer, tant ces deux champions semblent infatigables. Comme sur les précédentes classiques, ils ont fait parler leur explosivité pour creuser les écarts et ensuite maintenir leur avantage face à des adversaires incapables de se mettre dans le rouge face à de telles accélérations. Pogacar, seulement 26 ans, et Van der Poel, 30 ans, sont faits d’un autre bois, et leur duel rend leurs performances encore plus impressionnantes. Mais les deux visent des objectifs désormais bien différents : le Slovène a manqué sa première tentative de remporter sur une même année Milan-Sanremo et Paris-Roubaix et est déjà tenté de revenir, son rival néerlandais préfère pour sa part les records sur les compétitions qu’il affectionne, les Flandriennes en tête.
Derrière, il est difficile d’envisager qui d’autre pourra les éliminer de leur trône. Le Danois Mads Pedersen (Lidl-Trek) a parfaitement géré le Tour des Flandres, mais est resté un ton en dessous, avant de voir ses chances de briller effacées par une crevaison sur Paris-Roubaix. Le Belge Wout van Aert (Team Visma-Lease a Bike), s’il semblait grimper vers son pic de forme, a semblé manqué de compétition pour jouer la victoire sur ces monuments, comme si sa fenêtre de tir pour viser ces Flandriennes qu’il adore tant était déjà passée. Les Filippo Ganna (INEOS Grenadiers), Stefan Küng (Groupama-FDJ), Jasper Philipsen (Alpecin-Deceuninck)… se sont approchés cette saison, mais il manque encore une marche vers la victoire. Mais tous ont vu que la tactique pouvait aussi faire mal que la tactique sur ces courses d’un autre temps. Il faut bien garder le positif, à défaut d’une marche sur le haut du podium.
Grégory Ienco
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Trois classiques en vue des Ardennaises
Les pavés de Paris-Roubaix ont signé la fin de la période des classiques dites “flandriennes”. Les spécialistes des courtes côtes et des chemins agricoles vont prendre pour la plupart une pause bien méritée, laissant place à d’autres types de puncheurs et de grimpeurs jusqu’à Liège-Bastogne-Liège. Pour faire la transition vers ces courses aux dénivelés plus importants, trois classiques s’annoncent durant cette prochaine semaine. Voici tout ce qu’il faut savoir sur ces courses.
Tour du Limbourg (mercredi 16 avril)
C’est la nouveauté du calendrier 2025. Habituellement disputé le lundi de Pentecôte, le Tour du Limbourg a été cette année déplacé en avril, en lieu et place de la Flèche Brabançonne (décalée deux jours plus tard). L’épreuve dessinée sur un circuit similaire à celui des championnats d’Europe sur route de l’an dernier sera une nouvelle fois à la faveur des sprinters.
Les coureurs affronteront trois tours d’un circuit local de près de 40 kilomètres, avec les montées du Kolmontberg (500 m à 3,8% de moyenne), du Zammelenberg (900 m à 2,9%), de Manshoven (pavés, 1.300 m à 2,2%) et d’Op de Kriezel (pavés, 1.500 m à 2,5%). La ligne d’arrivée sera tracée au sommet d’une légère montée en faux-plat sur les 250 derniers mètres, dans le centre de Tongres-Looz.
Les sprinters présents savent toutefois qu’ils devront faire face à quelques pièges sur ces petites routes de campagne avant d’envisager de faire parler leur pointe de vitesse dans la cité d’Ambiorix. Les purs spécialistes ne seront donc pas de la partie, mais de nombreux hommes rapides feront le déplacement dans le Limbourg. L’Australien Kaden Groves (Alpecin-Deceuninck), l’Érythréen Biniam Girmay (Intermarché-Wanty), les Belges Milan Fretin (Cofidis), Milan Menten (Lotto), Edward Theuns (Lidl-Trek) et Sasha Weemaes (Wagner Bazin WB), les Italiens Matteo Moschetti et Giacomo Nizzolo (Q36.5 Pro Cycling Team), le Français Jason Tesson (TotalÉnergies), le Slovaque Lukas Kubis (Unibet Tietema Rockets) ou encore le Portugais Iúri Leitão (Caja Rural-Seguros RGA) seront attendus dans le final.
Flèche Brabançonne (vendredi 18 avril)
Disputée ces dernières années le mercredi entre Paris-Roubaix et l’Amstel Gold Race, la course brabançonne a cette année été décalée de deux jours pour laisser place au Tour du Limbourg. Cela n’enlève rien au caractère préparatoire de l’épreuve en vue des prochaines classiques ardennaises. Surtout que le parcours restera quasiment similaire aux précédentes éditions.
La course féminine partira toujours de Lennik pour rejoindre Overijse, où un circuit local de près de 20 kilomètres sera à enchaîner à trois reprises avec les habituelles montées de la Hertstraat (pavés, 700 m à 4,7% de moyenne), de la Moskesstraat (pavés, 500 m à 9,2%), Holstheide (1.000 m à 5,3%) et le S-Bocht sur la chaussée de Bruxelles, jusqu’à l’arrivée (1.300 m à 4,2%).
Les candidates des Ardennaises seront déjà au départ de l’épreuve brabançonne, avec Demi Vollering (FDJ-Suez) annoncée comme la grande favorite, au côté d’Evita Muzic. La Britannique Anna Henderson (Lidl-Trek) et les Néerlandaises Pauliena Rooijakkers (Fenix-Deceuninck), Anna van der Breggen et Mischa Bredewold (Team SD Worx-Protime) seront parmi les outsiders, face aux Australiennes Ruby Rosemann-Gannon (Liv AlUla Jayco) et Alexandra Manly (AG Insurance-Soudal), à l’Italienne Silvia Persico (UAE Team ADQ) ou l’Américaine Kristen Faulkner (EF Education-Oatly).
Les hommes partiront désormais de Beersel, non loin de Lennik et rejoindront le même parcours vers Overijse, avec seulement quatre côtes supplémentaires dans la première heure de course pour faire une course de mouvement.
Le plus attendu sera le local du jour, Remco Evenepoel (Soudal Quick-Step), qui fera sa reprise après sa lourde chute à l’entraînement en décembre dernier. Il restera toutefois à connaître sa condition après de longues séances d’entraînement au soleil. Wout van Aert (Team Visma-Lease a Bike), en verve sur les flandriennes, est également prévu au départ, et sera clairement l’un des favoris, au côté de Jhonatan Narvaéz (UAE Team Emirates), Robert Stannard (Bahrain Victorious), Corbin Strong (Israel Premier Tech), Tibor del Grosso (Alpecin-Deceuninck), Harm Vanhoucke (Q36.5 Pro Cycling Team), Andreas Leknessund (Uno-X Mobility), Emilien Jeannière (TotalÉnergies) ou encore Lander Loockx (Unibet Tietema Rockets).
Course féminine
Course masculine
Amstel Gold Race (dimanche 20 avril)
Avant de rejoindre les Ardennes belges, place à quelques tours dans le Limbourg néerlandais, sur de courtes côtes abruptes qui vont faire mal aux puncheurs. Le parcours dévoilera par ailleurs une grande nouveauté par rapport à la saison dernière, du moins un grand retour, et seulement sur la course masculine.
Les 34 ascensions programmées dimanche seront bien connues du peloton. Les grandes manœuvres seront attendues à une cinquantaine de kilomètres de l’arrivée avec l’enchaînement des raides Gulperberg (920 m à 5,6% de moyenne), Kruisberg (600 m à 8,8%), Eyserbosweg (900 m à 9,3%), Fromberg (1.600 m à 3,6%) et Keutenberg (1.200 m à 5,9%). Le final a cependant été légèrement mis à jour, avec un circuit local d’une vingtaine de kilomètres remanié. Le Geulhemmerberg (1 km à 5%) et le Bemelerberg (900 m à 4,5%) seront encore au programme avant une troisième et dernière montée du Cauberg (800 m à 6,5%). La ligne d’arrivée sera tracée moins de deux kilomètres plus loin, au sommet de Berg en Terblijt.
Comme ces dernières années, les survivants des classiques flandriennes se mélangeront aux futurs favoris des Ardennaises. Le champion du monde Tadej Pogacar (UAE Team Emirates XRG) aura encore une fois la pancarte dans le dos, face notamment aux Belges Wout van Aert (Visma-Lease a Bike), Remco Evenepoel (Soudal Quick-Step), Maxim Van Gils (Red Bull-Bora-Hansgrohe) et Thibau Nys (Lidl-Trek). La liste des favoris s’allonge avec le Britannique Tom Pidcock (Q36.5 Pro Cycling Team), l’Australien Michael Matthews (Team Jayco AlUla), le Suisse Marc Hirschi et le Français Julian Alaphilippe (Tudor Pro Cycling Team), les Italiens Simone Velasco (XDS Astana Team) et Davide Formolo (Movistar), les Français Axel Laurance (INEOS Grenadiers), Benoît Cosnefroy (Decathlon Ag2r La Mondiale), et Romain Grégoire (Groupama-FDJ), l’Irlandais Ben Healy (EF Education-EasyPost) ou encore l’Espagnol Alex Aranburu (Cofidis).
Le peloton féminin grimpera également le Kruisberg, l’Eyserbosweg, le Fromberg et le Keutenberg, mais à plus de 90 kilomètres de l’arrivée. La course se jouera dans le circuit local autour du Cauberg, qui sera couvert à quatre reprises ! Cela sera donc plus tactique que du côté des hommes.
Chez les femmes également, les habituées des pavés feront face aux stars des classiques wallonnes. La championne du monde Lotte Kopecky (SD Worx-Protime) fera face pour la deuxième fois de la saison à Demi Vollering (FDJ-Suez), alors que leurs équipières Anna van der Breggen et Juliette Labous pourront aussi tenter leur chance. La Polonaise Kasia Niewiadoma (Canyon//SRAM zondacrypto) aura par ailleurs un statut de favorite, au côté de la Mauricienne Kim Le Court (AG Insurance-Soudal), la Néerlandaise Marianne Vos et la Française Pauline Ferrand-Prévot (Visma-Lease a Bike), la Néerlandaise Puck Pieterse (Fenix-Deceuninck), l’Allemande Liane Lippert (Movistar), l’Italienne Marta Cavalli (Team Picnic-PostNL), l’Américaine Kristen Faulkner (EF Education-Oatky) et la Britannique Anna Henderson (Lidl-Trek).
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Conquering the Savage Arenberg: Roubaix’s Relentless Trial of Grit
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[11:17] Man die bidon gooide tegen Mathieu van der Poel meldt zich bij politie
De man die tijdens de wielerklassieker Parijs-Roubaix een bidon in het gezicht van winnaar Mathieu van der Poel gooide, heeft zich gemeld bij de politie.
https://dvhn.nl/sport/Man-die-bidon-gooide-tegen-Mathieu-van-der-Poel-meldt-zich-bij-politie-46127635.html
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Radio Silence, Power Down, No Drama: Mathieu van der Poel Conquers Paris-Roubaix Anyways
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