@alainmi11 Oui, l'article évoque des choses qui n'ont aucuns rapports avec GrapheneOS, comme une fausse page SnapChat, des salons sur le darkweb (spoil : le darkweb n'existe pas), des boutiques louches ou des chaînes YouTube non référencées (je ne sais même pas ce que cela veut dire) c'est absurde, ces autoritaires parlent d'autres choses que GrapheneOS, visiblement des forks à code source fermé avec des fonctionnalités étranges ajoutées qu'ils prennent à tort pour GrapheneOS.
@GrapheneOS est uniquement disponible sur grapheneos.org et certaines entreprise comme nitrokey.com vendent des Pixel phones avec GrapheneOS, mais la plupart des utilisateurs l'installent eux-même ou se font aider.
Il est claire qu'il s'agit d'un article à charge qui est en train d'être relayé par d'autres médias, cela a commencé dans une partie de l'Espagne, le journaliste n'a pas donné le temps à GrapheneOS d'argumenter et a rédigé le texte dans le but de suivre un agenda, celui de criminaliser le chiffrement et les outils de protection de la vie privée, ensuite, les réponses de GrapheneOS ont été énormément tronqués dans l'article.
Le Parisien appartient au corrompu Bernard Arnault qui doit des milliards de taxes impayés, mais ces autoritaires ne nous empêcherons pas d'utiliser le chiffrement des communications, le chiffrement du disques et des outils qui nous permettent de mieux contrôler nos données.
Je suis sûr que notre communauté GrapheneOS re doublera d'efforts s'il le faut pour se défendre, GrapheneOS a déjà subi de nombreuses attaques et est la cible de harcèlement depuis des décennies de la part d'entreprises hostiles et d'individues malveillants qui veulent mettent fin au projet parce que GrapheneOS est une menace pour leurs business, certains font même partie de communautés open-source comme F-Droid et /e/, ainsi que des attaques de swatting visant à faire tuer le fondateur, orchestré par des membres du Kiwi Farms, un forum dédié au cyber-harcèlement, crée par un ancien admi de 8chan, maintenant les gouvernements nous ciblent.