Critiquant sur Twitter le manque de diversité d'une assemblée d'entrepreneurs et cadres de la tech, la développeuse Anaïs Urlichs a été sommée, par avocats interposés, de supprimer son tweet. Une manœuvre qui laisse les internautes dubitatifs et illustre les risques posés par le « délit d'outrage numérique » créé par la loi SREN.
https://next.ink/135147/inclusion-dans-la-tech-critique-le-ceo-de-qovery-menace-une-internaute-de-poursuites/
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