Souvenirs sortis du sac en jasant avec ma mère.
https://onjase.quebec/display/3e11eb70-2069-384f-cf00-0be334538091
Souvenirs sortis du sac en jasant avec ma mère.
https://onjase.quebec/display/3e11eb70-2069-384f-cf00-0be334538091
souvenir from the 10th Annual Convention of Matchcover Collectors, in 1950
The convention lasted three days! They clearly had lots to discuss 😆 21st century geek/fan culture is fine; but I feel like this is the type of social life that has been lost.
Yet here I am posting it on the Internet rather than inviting everyone over to my house, so I'm not part of the solution....
#fandom #boston #collection #collectibles #souvenirs #collectors #massachusetts #1950s #conventions #bowlingalone
Petite philosophie du bourrage papier https://www.lemonde.fr/m-perso/article/2025/12/04/petite-philosophie-du-bourrage-papier_6655916_4497916.html

« Work in progress ». Connaissons-nous les objets que nous utilisons quotidiennement au bureau ? Pas vraiment. L’ouvrage « Bourrage papier. Leçons politiques d’une imprimante » invite à retisser ce lien distendu, souligne dans sa chronique Nicolas Santolaria, journaliste au « Monde ».
« Catch up culture » : encore une bonne raison de sortir les dés
On est tombés sur un article du HuffPost qui cause de la « catch up culture ». En gros, cette façon moderne d’entretenir ses amitiés uniquement à coups de « bon, raconte ta vie », autour d’un verre, tous les trois mois. Ce que l’article décrit très bien, c’est cette sensation de ne plus vivre des moments ensemble, mais juste de se synchroniser comme deux serveurs fatigués. On fait des « mises à jour de vie », mais on ne partage plus rien de concret (« vous ne vivez rien ensemble », comme dit l’autrice Michelle Elman dans l’article). Tu le vois le truc un poil superficiel de la discussion sympatoche entre potes ? Et là, même si l'article en question n’est pas renversant, il a le mérite de pointer un truc assez vrai. Les liens amicaux, ça se fabrique avec du vécu commun, pas seulement avec des résumés façon liste à puce de nos emmerdes ou de nos réussites. L’article insiste d’ailleurs là-dessus : ne partager que les « gros titres » de son existence finit par rendre les relations un peu molles, voire superficielles. Et c’est là que le jeu de rôle arrive, tranquillou bilou, en sifflotant. […]