C'est la leçon à tirer de The King is Watching.
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On ne pouvait pas faire accueil plus velu pour cette Gamescom 2025. À peine venais-je de souhaiter de bonnes bières à Denis (il n’a fait que boire ce jour-là*) et de ne pas crever d’épuisement à Ellen, que je me rendis sur le stand de Crimson Desert, jeu d’action-aventure heroic fantasy imaginé par les Coréens de Pearl Abyss (Black Desert Online).
Il y a des traditions qui suivent la rédaction de Canard PC à chaque Gamescom : tous les ans, ou presque, il y a une petite galère d'hôtel (il faut savoir que pendant quatre jours, Cologne devient la capitale de l'industrie et il faut au moins se séparer d'un rein fonctionnel pour espérer trouver un logement convenable) ; le premier soir du salon, on partage une pinte de Kölsch avec des confrères sur les rives du Rhin ; et puis il y a toujours ce moment où l'on se fait la promesse de ne plus jamais boire de pinte de Kölsch avant une journée de rendez-vous, parce que ça n'a honnêtement jamais été une très bonne idée.
J’ai une confession à vous faire. Même si je le respecte, je n’ai jamais vraiment aimé Super Meat Boy. Ni dans son esthétique, ni dans son feeling bien trop flottant à mon goût. Ainsi, on ne peut pas dire que j’étais particulièrement extatique à l’annonce d’une nouvelle mouture 3D.
Après avoir fait une présentation plutôt enthousiasmante de Reanimal lors de la Gamescom 2024, les Suédois de Tarsier Studios (les responsables de votre trouble du stress post-traumatique depuis la série des Little Nightmares) étaient de retour cette année – cette fois avec une démo jouable, pour laquelle on m'a mise en binôme avec un journaliste anglophone à qui j'allais apprendre le concept même de patience.
Vous vous souvenez de Mafia en 2002 ? Moi oui. J’avais encore un écran cathodique, une connexion 56k, et une foi candide en la capacité du jeu vidéo à raconter autre chose que « Incarnez un héros ». Dès l’intro, Mafia : The Old Country a réussi à me ramener à cette époque bénie (par la Madone, bien entendu).