Baisser les APL de 5€, c'était soit disant "indolore".
Augmenter d'environ 5 € de plus la taxe aérienne : "cela peut faire une différence".
CQFD.
Genre | Un peu con•ne (mais boomer forever) |
velotaf | ça arrive |
Manger | Tout |
Sport | ça arrive |
Baisser les APL de 5€, c'était soit disant "indolore".
Augmenter d'environ 5 € de plus la taxe aérienne : "cela peut faire une différence".
CQFD.
On est 250, il manque 99 750 signatures.
Aujourd'hui, une puissance étrangère décide du corps des femmes et adelphes précaires hors ses frontières.
Si, leur sort ne nous fait pas remuer un cil, si on accepte ça, demain elle pourra exiger la même chose pour nous.
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Mesdames et Messieurs les députés, Nous, citoyennes et citoyens attaché·es à la santé publique, aux droits fondamentaux reproductifs des individus, et au respect des engagements humanitaires de la France, vous adressons cette pétition pour vous demander solennellement d’intervenir contre la destruction annoncée, sur le sol français, de près de 10 millions de dollars de contraceptifs, initialement destinés à des programmes de santé reproductive dans des pays à faibles revenus. Selon des sources concordantes (Washington Post, Reuters, 20 Minutes), ces contraceptifs (pilules, implants, stérilets, injectables), financés par l’Agence américaine pour le développement international (USAID), ne sont ni périmés ni inutilisables. Ils sont simplement devenus indésirables aux yeux de la nouvelle administration américaine, pour des raisons idéologiques et non sanitaires. Les produits sont actuellement stockés en Belgique, mais leur destruction est prévue en France, à travers une entreprise d’incinération localisée sur notre territoire. Or, plusieurs organisations non gouvernementales majeures — parmi lesquelles Médecins Sans Frontières, IPPF, MSI Reproductive Choices ou encore l’UNFPA — se sont proposées pour récupérer et redistribuer ces stocks, à leurs frais, vers les bénéficiaires initialement ciblés : des femmes vivant dans des contextes de grande précarité et à risque vital en cas de grossesse non désirée. Malgré cela, les États-Unis ont opposé un refus catégorique, choisissant la destruction, avec un coût logistique estimé à 167 000 dollars, plutôt que la redistribution humanitaire. Nous demandons que la France ne se rende pas complice de cette décision idéologiquement motivée, contraire aux principes fondamentaux de solidarité, de santé publique et de droits des femmes que notre pays défend. Concrètement, nous vous demandons : D’interpeller le gouvernement français sur cette destruction annoncée sur notre territoire. De tout mettre en œuvre pour empêcher cette incinération sur le sol français ET EUROPÉEN. De proposer une solution alternative en coordination avec les ONG concernées pour permettre le transfert sécurisé et humanitaire des contraceptifs vers les bénéficiaires. Il ne s’agit pas ici d’un désaccord diplomatique secondaire. Il s’agit de la santé, de la dignité et de la vie de centaines de milliers de femmes. Il s’agit aussi de l’image de la France, pays des droits humains, qui ne peut accepter sur son territoire la destruction volontaire de médicaments utiles contre l’avis même du monde médical et humanitaire. La représentation nationale ne peut rester silencieuse. Nous vous demandons d’agir sans délai.
Mesdames et messieurs les membres du gouvernement,
Mesdames et messieurs leurs divers thuriféraires, habituels ou juste de passage, et autres suce-boules au Nutella,
Mesdames et messieurs les gens du PS (parce que hein, faudrait pas vous oublier non plus)
J’ai 60 ans.
L’âge où je devrais glisser mollement vers un centrisme crémeux, m’acheter des fleurs le dimanche et dire « les jeunes exagèrent un peu ». Sauf que j’ai raté la marche. Je n’ai pas fondu dans le flan républicain. Je fais une allergie au Flamby tiède et au Bayrou allégé mais lourdingue.
À cet âge, je devrais collectionner les orchidées, pas les colères. Voter PS (hinhin) par réflexe d’arthrose. Penser que « le progrès, c’est d’avoir un médecin traitant ». Mais non. Je suis restée du mauvais côté de la rage.
Et c’est de votre faute.
Je ne vais plus en manif depuis dix ans. La BPCO fait mauvaise équipe avec les lacrymos. Ma fibro s’effondre au premier pavé. Résultat : je râle depuis mon canapé. Ce n’est pas moins politique. À défaut de me faire casser la gueule par un CRS, je casse du sucre sur leurs donneurs d’ordres. C’est moins sportif, mais tout aussi cardio.
Petite, on m’a vendu la fin du racisme, le progrès sans la pollution, la paix à coups d’ONU. Résultat : on a le Wi-Fi dans les chiottes mais des mômes se noient encore en Méditerranée. L’égalité avance, à condition d’avoir le bon code postal.
Le mariage pour tous ? Certes. Mais les trans ramassent les baffes pour tout le monde. Ielles encaissent pour nos maigres avancées. On légalise, puis on cogne.
Je suis une femme. Donc statistiquement, j’aurais pu crever sous les coups d’un homme que j’aimais. La routine. Je ne suis ni noire, ni arabe, ni trans. J’ai juste la chance d’être une cible de base. Le flic n’a même pas besoin de viser.
Je devrais être de droite, franchement. Et pourtant, à cause de vous, j’ai l’air d’une dangereuse radicale quand je dis qu’on ne devrait pas tabasser voire tuer un gamin pour une capuche, ni arracher un vêtement de femme, même si elle le porte sur sa tête. Votre monde est si torché que même moi, vieille croulante en polaire éco-bio, je passe pour subversive.
Vous êtes allés si loin dans la suffisance et la stupidité que je suis devenue votre cauchemar : une extrémiste modérée qui demande juste qu’on arrête de tuer les gens. À Gaza. Dans nos rues. Dans nos champs, à coup de saloperies que vous osez appeler « pharmacéticosanitaires » (si, si), pour qu’on oublie que c’est du poison.
Alors je vais signer PLEIN de pétitions.
Pour vous faire chier.
Comme dit une mienne amie à moi, bien trop souvent, elle aussi :
je suis trop vieille pour ces conneries.
Il est notamment reproché au géant chinois de la mode éphémère de majorer « certains prix avant de leur appliquer une réduction », ou de ne pas avoir tenu compte « des promotions précédentes » lorsqu’il rapportait un prix de référence.
Bonjour,
Jeune homme (21 ans) recherche une #alternance pour son #BTSSioSlam (services informatiques
aux organisations option solutions
logicielles et applications métiers).
pour septembre prochain sur #Vannes, #Redon.
#jechercheunjob
Le repouet donnera le sourire à ma chérie, c’est pour son fils 😁
La politique est faite par des professionnels. Ne tentez pas ces acrobaties chez vous.
Pour soutenir la lutte dessinée, engagée et indépendante :
▶️ https://ko-fi.com/allanbarte
Je m'appelle Eléonore PATTERY, j’ai 23 ans, et je suis actuellement en Master QSE et RSE (Qualité, Sécurité, Environnement / Responsabilité Sociétale des Entreprises). En tant que future professionnelle de la santé environnementale et de la responsabilité collective, j’apprends chaque jour à appliquer ce que vous — législateurs — refusez aujourd’hui de respecter vous-mêmes. La Loi Duplomb est une aberration scientifique, éthique, environnementale et sanitaire. Elle représente une attaque frontale contre la santé publique, la biodiversité, la cohérence des politiques climatiques, la sécurité alimentaire, et le bon sens. - Cette loi est un acte dangereux. Pour les travailleurs, les habitants, les écosystèmes, les services écosystémiques, et pour l’humanité tout entière. Elle fragilise les réseaux trophiques et compromet la stabilité de notre environnement — dont nous dépendons intégralement. Nous sommes ce que nous mangeons, et vous voulez nous faire manger quoi ? Du poison. 📚 Les grands textes l’avaient déjà dit : Le rapport Brundtland, l’Évaluation des écosystèmes pour le millénaire (MEA), les rapports du GIEC, les études de l’OMS, de l’INRAE, de Santé Publique France… Tous alertent depuis des décennies sur les conséquences des politiques destructrices du vivant et de la santé. Et pourtant, vous persistez à légiférer contre l’intérêt général. ⚖️ Un acte possiblement inconstitutionnel. Selon l'article L110-1 du Code de l'environnement, l’État français est garant de principes environnementaux comme: « 6° Le principe de solidarité écologique, qui appelle à prendre en compte, dans toute prise de décision publique ayant une incidence notable sur l'environnement des territoires concernés, les interactions des écosystèmes, des êtres vivants et des milieux naturels ou aménagés ; » Et la LOI constitutionnelle n° 2005-205 du 1er mars 2005 relative à la Charte de l'environnement (JORF n°0051 du 2 mars 2005 page 3697) (annexée à la Constitution de 1958) dans son chapitre 1er : « Chacun a le droit de vivre dans un environnement équilibré et respectueux de la santé. » En validant cette loi, vous violez potentiellement ce droit constitutionnel, et portez atteinte à l’obligation de précaution, pourtant consacrée par le principe n°15 de la Déclaration de Rio et repris dans notre droit. Je m’oppose donc à la Loi Duplomb. Par cette pétition, je demande : - Son abrogation immédiate ; - La révision démocratique des conditions dans lesquelles elle a été adoptée ; - La consultation citoyenne des acteurs de la santé, de l’agriculture, de l’écologie et du droit. Aujourd'hui je suis seule à écrire, mais non seule à le penser.