⭕Une jeune #Palestinienne de 16 ans originaire de #Gaza, prise au piège sous les bombardements #Israéliens, attend depuis 18 mois un visa #Britannique malgré l'offre d'une bourse d'études dans une école prestigieuse du #Berkshire.
#Dania_Alafranji, admise au programme #Nsouli_Scholars de #Reddam_House, a fait appel à plusieurs reprises au ministère de l'Intérieur #Britannique pour rejoindre sa mère à #Manchester et poursuivre ses études.
Mais les autorités #Britanniques ont refusé de lui accorder l'entrée, invoquant des règles de visa strictes. Vivant désormais au milieu des ruines de #Gaza, #Dania se sent « Prisonnière de l'enfer », car 90 % des écoles de #Gaza sont détruites ou transformées en abris.
« La guerre n'est pas de ma faute, et ce n'est pas la faute des 600 000 autres élèves #Gazaouis », a-t-elle déclaré aux journalistes, décrivant la vie dans la bande de #Gaza assiégée comme « Un four… qui nous brûle de l'intérieur comme de l'extérieur ».
Sa mère, #Hayat_Ghalayini, qui a quitté #Gaza au début du génocide, affirme avoir supplié les autorités de « Considérer la situation sous un angle humanitaire », mais en vain. « Ils ont aidé les enfants #Ukrainiens », déplore-t-elle. « Pourquoi pas ma fille ?! »